La mère de ma copine Elodie (6)
Datte: 30/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... me donner plusieurs de ses culottes qui sentaient bon la femme. — Tu pourras ainsi les porter pendant la journée et tu penseras à moi. C’est vrai que le coup des petites culottes à sentir pour penser à sa belle, c’était vraiment imparable ; le problème c’est que maintenant, je commençais à avoir une collection de petites culottes de la maman et de la fille. Au fond de moi je repensais à ce que me disait ma chérie il y a quelques instants "tant que cela ne sort pas de la famille". Je partais quand même avec un pincement au cœur, car maintenant ma chérie avait un poste de commerciale itinérante et elle était en déplacement cette semaine. Vu que jusqu’à maintenant on ne se voyait que très rarement dans la semaine, cela ne changeait pas grand-chose, mais j’étais quand même embêté de la savoir loin de moi. C’est ainsi que dès le lundi soir Geneviève est venue me chercher à la sortie du boulot et pour la première fois elle m’invitait chez elle. Nous n’allions pas passer la soirée à Chartres, nous n’allions pas manger au restaurant, ni dormir à l’hôtel ; tout allait se faire chez elle ce soir. Comme d’habitude c’est elle qui dirigeait les opérations, elle m’a emmené dans la chambre d’amis qui se trouvait à l’étage comme toutes les autres chambres. Là, elle m’a expliqué qu’elle me voulait à elle et pour elle, elle m’a montré les vêtements qu’il y avait sur le lit et elle m’a demandé à ce que je les enfile pour ensuite venir la retrouver au rez-de-chaussée. Je n’ai pas eu le temps de ...
... réagir qu’elle était déjà repartie, grande fut ma surprise de constater qu’il n’y avait que des vêtements féminins sur le lit et surtout une magnifique robe longue et douce avec des froufrous sombres avec des filets rouges. Je suis descendu rouspéter pour lui dire que je n’enfilerai pas ça, je n’étais pas une femme, je voulais bien qu’elle me fasse porter ses culottes odorantes, ce n’était pas pour me déplaire, qu’elle me titille mon petit cul, ce n’était pas pour me déplaire, mais de là à carrément me déguiser en femme il y avait des limites. Là elle est partie vers un tiroir d’où elle a sorti de nombreuses photos qui nous montrait elle et moi en train de faire des choses, qui me montraient avec mon petit cul se faisant solliciter, bref elle avait plein de photos compromettantes. — Si tu ne veux pas que ces photos soient publiées sur ton lieu de travail, tu vas faire ce que je te dis. Elle avait pris un ton ferme et autoritaire sans doute celui dont elle se servait pour ses négociations au boulot. Vu que j’étais un peu long à la détente j’ai eu le droit à une paire de claques qui m’ont pratiquement mis les larmes aux yeux. Une femme pour laquelle j’avais maintenant beaucoup de sentiments et surtout une grosse envie venait de me claquer le visage. Elle m’a attrapé par la ceinture, puis est remontée à l’étage en me tirant, je me sentais rabaissé, mais au fond de moi ce n’était pas pour me déplaire. Elle m’a débarrassé de mon pantalon, de ma chemise, de mon maillot de corps, de ...