Une sœur, une mère (2)
Datte: 30/12/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... t’aime… J’arrive à peine à réaliser ce qui se passe : la fatigue de la journée, l’enchainement des événements, la jouissance et la complicité maternelle. Je ne sais rien dire de plus. Je sens mon sexe encore bandé glisser dans son ventre chaud et rempli de ma mouille… J’ai envie de reprendre un peu le contrôle et fort de ma position j’initie un nouveau mouvement pour pistonner son ventre. — Mon petit chéri… t’es pas fatigué ? — Si tu savais comme j’ai encore envie de toi, comme je t’aime ! — Comme tu t’es soulagé, maintenant c’est mon tour, fais-moi jouir, fais moi l’amour pour de bon ! — Ma petite maman… je t’aime… Par manque d’imagination, je ne sais dire que cela ! Comme investi d’un nouveau pouvoir, cette injonction me stimule, mon sexe triture son ventre ; arrivé à fond contre son pubis, je fais glisser mon ventre contre son ventre. Très vite je sens ses jambes qui se replient sur moi, et m’enserrent les fesses. Dans un baisé passionné je lui enroule la langue. Je sens ses ongles qui se plantent dans mon dos. La douleur m’aiguillonne… j’entame une pénétration soutenue, et puissante. A chaque mouvement, je ressorts mon bâton pour la pénétrer à nouveau de toute sa longueur. Maman râle de plaisir à présent en se cramponnant à moi. J’alterne ensuite des mouvements plus langoureux durant lesquels son corps se cambre pour mieux sentir mon membre en elle. Sa chaleur et la moiteur du lit décuple les sensations. Bientôt, je sens son corps se tendre, elle rejette sa tête en ...
... arrière comme pour reprendre son souffle puis émettre un rugissement haletant de bête sauvage à m’en donner la chair de poule… Elle me serre tellement fort que je jouis à mon tour, me soulageant d’une deuxième cargaison. Je me libère par saccades puissantes. Pour une première fois que je découvre l’amour d’une femme, et qu’elle fois, et quelle femme ! Je suis maintenant complètement vidé ; elle retrouve son calme et lâche lentement son étreinte. Après une dernière séance de baiser, je me renverse sur le côté… Elle reprend son souffle… — … Mon petit chéri, il ne faut pas faire des trucs comme cela à ta vieille mère ! — Ma petite maman, je t’aime… — Mon petit chéri, il y a longtemps que je n’ai pas joui comme cela ! Tu dois être épuisé… Moi je n’en peux plus… Maintenant il nous faut dormir pour être en forme demain ! Elle réordonne le lit que nos exploits ont complètement défait et m’installe dans le creux de son épaule, je me blottis contre son corps, un sein contre ma joue. Nos peaux sont moites de l’effort passé, le cœur comblé et heureux de cette première expérience d’amour et de plus avec celle qui est à l’origine de mes jours ! Nous ne tardons pas à nous endormir tous les deux, vannés de bonheur. Quand nous nous réveillons ensemble, il fait déjà jour, je suis toujours dans ses bras. Je sens l’odeur de sa peau, j’embrasse le sein à côté de ma figure puis je me relève pour l’embrasser à pleine bouche… Elle m’écarte doucement mais fermement : — T’as toujours envie ! … Mais là, il ...