1. À la montagne


    Datte: 30/12/2018, Catégories: 2couples, couplus, extracon, extraoffre, vacances, forêt, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, échange, entrecoup, nature,

    ... sommes, ma femme et moi. Le jour venu, le temps était superbe et la chaleur annoncée nous motivait plus encore pour prendre de l’altitude. Nous nous sommes donné rendez-vous près d’une vieille église et l’ascension a vite commencé. Au début Cédric et Isabelle étaient devant pour nous indiquer naturellement le chemin. J’avais devant moi, les jolies fesses de notre accompagnatrice qui se balançaient et je ne faisais que penser curieusement au cul qui me paraissait plus beau encore, parce que plus ferme et musclé, de mon épouse que j’imaginais pareillement onduler en fermant la marche sans qu’il n’y ait personne pour en profiter… J’étais perdu dans ces pensées, noyé dans le souvenir de la nuit précédente où elle m’avait laissé engouffrer mon visage dans sa raie. J’avais pu engouffrer ma langue dans sa rosette, ce qu’elle ne m’avait pas autorisé depuis si longtemps. J’attribuais sa clémence à l’altitude, à cette situation enfin si propice à l’accomplissement de notre intimité. Mais je compris plus tard que la raison était peut-être toute autre… Ce qui est certain, c’est que cette nuit-là, bien qu’elle ait refusé une fois de plus de m’abandonner la virginité de son anus, nous avons fait l’amour longuement et avec une fougue qui me faisait apprécier plus que tout, les vertus de la haute montagne ! Dès que le chemin s’est élargi, nous avons rejoint nos deux guides et avons pu discuter, de tout et de rien, et surtout dans un premier temps, des bienfaits de la randonnée, du contact ...
    ... avec une nature si belle… Mais finalement ce qui a attiré mon attention très vite, plus que la teneur des propos que nous tenions, c’est la façon dont « naturellement » la conversation s’est organisée. Rapidement, lorsque le sentier s’est un peu resserré, Cédric et Sylvie se sont retrouvés devant à discuter, pendant que je me trouvais aux côtés de la troublante Isabelle. Par chance, je n’avais pas dans cette situation, à croiser son regard ! Il faut dire, pour comprendre le léger malaise dans lequel je me trouvais, que je suis quelqu’un d’assez timide. Voir ma femme, enfin devant moi, onduler de la croupe dans son petit short moulant, accompagné d’une ravissante accompagnatrice qui semblait trouver de l’intérêt à discuter avec moi aurait dû me combler. Mais c’était tout le contraire qui se produisait. J’étais gêné à la fois de ne pouvoir « reluquer » à loisir le postérieur de ma femme, de peur que ma voisine ne devine quelque chose, comme je l’étais de sentir à mes côtés les effluves troublants de ma compagne d’un instant, qui mêlaient la suavité de sa transpiration à un parfum capiteux « très bourgeois » qui avait quelque chose d’insolite dans le cadre où nous nous trouvions. Je me trouvais comme tiraillé entre diverses émotions où je ne savais quelle part donner au plaisir, au désir, ou à l’inconfort et à la douleur diffuse qui peu à peu m’envahissait, comme si j’avais peur de perdre peu à peu le contrôle de ce qui allait arriver… Ce sentiment ne faisait que se renforcer ...
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