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Les récits de Sandie - N° 3.
Datte: 31/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro
Me prostituer (suite). Ce vendredi, après avoir déposé mon fils à l’école, je prenis l’autoroute pour Marseille. Je ne voulais pas prendre le risque d’être reconnue par une amie de club ou un voisin sortant du sex-shop face à l’arsenal. J’avais pris soin de noter les adresses des sex-shops de Marseille sur le net et bien sur l’adresse gentiment fournie par l’amie de Roger. Je décidais de commencer par cette adresse. Espérant trouver de suite mon bonheur, ainsi je n’aurais pas à passer la porte d’un sex-shop. Les prix n’étaient pas donnés. Je payais quarante euros pour une mini mini-jupe noire en latex brillant, et presque cent euros pour une paire de bottes à talon haut noires brillantes. Accessoires que j’estimais indispensables et qui n’étaient pas dans ma garde-robe. Je retournai à Toulon, je voulais essayer la mini-jupe, les bottes, m’habiller, me voir en pute. Je me changeais dans ma chambre face à la glace. J’enfilais un body noir sans manche presque transparent que je possédais. Puis assise sur mon lit, une paire de bas auto-fixant en voile noir qui montait très haut. Ensuite la mini-jupe, je tremblais presque de désir. Elle m’allait parfaitement. Je me regardais dans la glace. Je ne me reconnaissais pas. Aussi provocante aussi sexy alors que je suis plutôt classique et bon genre. Je me rasseyais pour mettre mes bottes. J’avais vraiment l’air d’une pute. Ce n’était pas moi la petite brune typée aux cheveux tirés en arrière et maintenus en queue de cheval que je ...
... voyais dans la glace. Mais une jolie petite pute. Je bougeais devant la glace, prenais des poses, me regardais. Appuyée dos au mur un genou relevé, je n’en croyais pas mes yeux. Le body allait parfaitement avec la mini-jupe, mes petits seins se devinaient de façon très suggestive sans être provocants sous le voile noir légèrement transparent. Je m’entrainais à descendre et enlever la mini-jupe. Elle était superbe, et glissait toute seule. Très rapide et facile à enlever. De toute façon même en la gardant et en m’allongeant sur le lit, elle ne me gênait pas pour dégrafer le body. Le reste de la journée fut stressant et se trainait en longueur. J’essayé différents hauts, chemisier, top mais je retins le body noir même si un simple soutien-gorge noir en dentelle porté seul était aussi très sexy avec la mini-jupe et les bas en voile noir. J’avais aussi essayé différents maquillages, différentes façons de me coiffer. J’essayais les cheveux biens tirés en arrière et retenus par une barrette ou un choux-choux. La queue de cheval ainsi faite me donnait l’air sérieuse tout en restant très féminine. Le soir Roger me téléphona… Il prenait le train le lendemain matin. Je lui racontais ma journée. je lui dis que je me sentais prête même si j’avais beaucoup d’appréhensions, et que j’étais morte de trouille. Il essayait de me rassurer. Mes amis sont venu chercher mon fils un peu avent dix-huit heures. J’avais auparavant préparé ses affaires pour la nuit. Ils ne s’attardaient pas et ils me ...