Black Angel, justicière et soumise (6)
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Elle la fit entrer assez profondément et débuta de lents mais profonds va-et-vient qui s’accélérèrent assez rapidement, puis de plus en plus fort. rjbrssdn Elle me godait avec puissance. Je râlais, gémissais, criais. Je ne faisais plus attention aux faits et gestes de toutes ces pétasses superficielles autour de moi ; je me sentais devenir complètement folle, je perdais tout contrôle de moi-même. Je lui ai presque arraché la batte de base-ball des mains pour me masturber avec une frénésie absolument incroyable, comme si toute raison m’avait quittée. Je jouis une fois, deux fois ; à chaque fois, c’étaient des râles rauques et puissants qui s’échappaient de ma gorge. — S’il vous plaît, matez-moi ! Regardez la soumise de Dame Alexa qui se gode comme une salope en manque de bite. C’est très gros et, putain, ce que ça me plaît ! Oh, la vache, mais quelle bite extraordinaire… J’en veux une autre ! râlai-je. Je ne me reconnaissais plus du tout, et ça m’était bien égal. En fait, tout m’était égal désormais, le monde normal n’existait plus : je voulais me faire enfiler par des queues ou des objets tous plus imposants les uns que les autres. Les vagues de l’extase me frappaient de plein fouet alors que je chavirais dans cet océan de plaisir. Je découvris une sensation forte qui s’était emparée de moi. Je fus prise de violentes convulsions ; tout mon corps trembla, mes yeux roulèrent. Je me tendis comme un arc, et j’émis un puissant jet qui arrosa tout ce qu’il y avait en face de moi ...
... lorsque j’atteignis dans un terrible hurlement un orgasme à peine imaginable. Je m’écroulai en tremblant, la batte encore profondément fichée en moi. Je crevais de soif, je tremblais encore, je n’arrivais pas à m’en remettre, j’entendais encore les gloussements moqueurs des filles. Elles ne s’attendaient certainement pas à voir ce genre de phénomène se produire, ou alors pas de cette façon. Moi-même, je l’ignorais. C’est Deb qui me retira la batte avec beaucoup de douceur. Devant moi, tout était trempé : j’avais arrosé partout. J’ignorais ce qui s’était passé, mais je m’en fichais. Zoé m’enjamba et releva un peu sa minijupe. À sa toison claire, je pus voir qu’elle n’avait pas de culotte. — T’es pas la seule à savoir arroser partout, sale petite conne ! Moi aussi, je sais le faire : regarde-moi un peu ça… se moqua-t-elle en lâchant un jet d’urine chaud et odorant directement sur ma poitrine, puis sur mon visage qui se crispa aussitôt. Toutes, à tour de rôle, vinrent se soulager la vessie sur moi en se moquant ouvertement de moi. Elles gloussaient de plus belle ; je trouvais ça agaçant. Elles m’ont souillée. Mais comparé au pied que je venais de prendre avec l’immense gode métallique, ce n’était absolument rien. Alexa s’amena avec un nécessaire de ménage. — T’as vu le merdier ? Nettoie-moi ça, et en vitesse, avant que père et mère ne reviennent ! gronda-t-elle. — Oui, Dame Alexa. En sa présence, je passai un bon coup de serpillère et d’éponge afin de tout nettoyer et désinfecter. ...