1. Une nuit interdite


    Datte: 31/12/2018, Catégories: fh, alliance, grosseins, intermast, Oral pénétratio, occasion,

    ... avait la particularité d’être non seulement long mais également d’avoir un rythme peu soutenu, si bien que Justine succomba rapidement au sommeil. Je tentai de garder les yeux ouverts le plus longtemps possible, mais les bras de Morphée m’attendaient impatiemment. Je me réveillai au milieu de la nuit et me rendis compte que Justine était toujours à mes côtés. Je me levai du lit, retirai mes vêtements et me retrouvai en caleçon. J’hésitai quelques instants : était-il préférable de m’installer dans la chambre d’amis, là où Justine devait initialement dormir ? Devais-je la réveiller et lui indiquer le chemin de son lit ? Mais mon entrejambe reprit bientôt le dessus sur mon cerveau : j’allais pouvoir donner libre cours à mon imagination, et avec Justine à mes côtés, l’excitation serait à son comble. Et d’ailleurs, c’est elle qui squattait mon lit. Je m’allongeai donc à ses côtés, et mon esprit commençait à imaginer des scénarios inavouables où les cris et les positions s’enchaînaient sans retenue quand soudain je la sentis bouger. Elle se leva du lit, se dirigea vers la porte et sortit sans faire de bruit.« Mince, c’est mort : elle va aller se coucher dans l’autre chambre. » pensai-je. J’entendis la chasse d’eau des toilettes fonctionner. Quelques minutes passèrent. Elle devait sûrement déplier la couverture de l’autre lit. Mon érection était retombée à son plus bas niveau, mais tout à coup la porte de ma chambre s’ouvrit. Dans la pénombre, je distinguai la masse de cheveux de ...
    ... Justine. Elle avait dû oublier quelque chose. Mais non : elle souleva la couette et se glissa à mes côtés. Dans les premiers instants je retins mon souffle, ne bougeai pas un orteil, puis je me remis à respirer normalement, feignant de m’être endormi. Pourquoi était-elle revenue ? Je sentais qu’elle était à quelques centimètres de moi. Mon sexe était redevenu en quelques secondes aussi dur que de l’acier. Que faire ? Me jeter sur elle et passer pour un obsédé, ou pire un violeur ? Impossible. Il fallait que je tente quelque chose qui pourrait passer pour un geste distrait dans le cas d’un refus. Je la sentis bouger et se mettre sur le côté. J’en profitai pour me tourner aussi et poser ma main sur sa hanche. Aucun tissu ne faisait obstacle entre ma main et sa peau. Elle était nue ? Mon cœur se mit au galop ; mon cerveau m’ordonnait de retirer cette main, et mon sexe de la laisser. Je m’attendais à tout instant qu’elle s’écarte et me vilipende, mais le contraire se produisit : un petit râle sortit de sa bouche et elle effectua un mouvement en arrière pour se coller contre moi. Mon sexe se retrouva collé contre ses fesses, ce qui redoubla sa vigueur. Elle prit ma main et la colla contre sa poitrine. Son énorme paire de seins. Le processus était lancé ; il était impossible physiologiquement de faire marche arrière. Ma main se mit à palper son globe ; de nouveaux râles sortirent de sa bouche. Je me mis à la recherche de son téton que je trouvai sans peine : il était volumineux et ...