1. Fanette 05


    Datte: 31/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..." Jour 5 Je n'ai pas pu me soulager de la tension sexuelle emmagasinée tout au long de la journée précédente et mon sexe enfermé réclame tout au long de la nuit une forte attention qui n'arrive jamais. Comme je peux voir le corps encore endormi de mon ami, mon défonceur de cul, je me précipite en bas pour découvrir notre Amour complètement nue. Cette superbe vue diabolique ne fait qu'empirer mon état d'excitation mais aucune attention ne récompense ma hâte malgré ma forte espérance comme je suis le premier réveillé. Ma Fanette me signale simplement de préparer les déjeuners pour nous trois, de me nourrir sur le sol et puis d'attendre comme Pascal est permit de récupérer. Moi pas, pensai-je, mais je ne dis rien. Je regarde désespérément l'écuelle, toujours pas habitué à cette façon de manger mais je m'abaisse par-dessus avant même d'en avoir reçu l'ordre. Par contre, j'attends sa permission pour commencer à manger. Je ne reçois mon approbation que lorsque mon Amour a enfoncé cette horrible queue canine dans mon cul et j'avale goulûment mon premier repas de la journée. Une fois terminé, je nettoie mon écuelle et la range. Comme je termine mon travail, je sens le sublime corps nu contre mon dos et sursaute en espérant, au plus profond de moi, un ébat ...
    ... sexuel ou au moins une délivrance. Les douces mains caressent ma peau tourmentée jusqu'à ce que ses doigts poussent de nouveau fermement le double bâillon dans ma bouche. Je comprends instantanément ma position et ne bronche pas. Lorsque ma Reine se recule, je m'effondre sur le sol, à quatre pattes, prêt à la servir… mais rien n'arrive et j'attends comme notre Fanette plonge dans la lecture d'un livre épais, assise dans le sofa, se caressant ouvertement, les jambes écartées, provocante, si sublimement provocante. Lorsque Pascal apparait, il est accueilli par un doux baiser sur la joue tandis qu'il s'agenouille aux pieds de notre Maîtresse. Je peux, de suite remarquer sa surprise et son embarras de me voir déjà ainsi accoutré, mais il ne dit rien. Tandis que je continue à ronronner, appuyé contre la douce jambe effilée de notre Amour, je l'observe dévorer son déjeuner alors qu'il peut à peine quitter des yeux le long tube de caoutchouc qui dépasse inexorablement de ma bouche, se remémorant, sans doute, le déroulement de la soirée passée. A ce moment-là, une étrange idée surgit en moi. Je n'ai, jusqu'à présent, jamais estimé le corps de mon ami Pascal et encore moins son sexe. La vue de ce corps nu d'athlète bloquée en partie par cet énorme phallus de caoutchouc me fait interroger sur le propre sexe de mon ami, sur la grosseur et la longueur de sa hampe une fois érigée. Même si je l'avais déjà reçue dans mon étroit canal, il m'est impossible de considérer ses mesures. Cette simple ...
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