Comment, à 18 ans, j'ai été perverti (1)
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
Gay
... m’arrivait ! Le dimanche entier ne fut qu’interrogation concernant la décision à prendre : me rendrai-je chez cet homme, oui ou non, et si oui, pour quelle raison ? Découvrir ce fameux matos « ésotérique » où y découvrir autre chose de moins avouable ? Mes parents, chez qui j’habitais encore, me trouvèrent très bizarre, ce demandant ce qui m’arrivait. Je me tins dans le mutisme le plus total ! Le lundi à 15h, je me trouvais devant le portail de sa villa. Je sonnais 2 ou 3 fois avant que le portail ne s’ouvre tout seul. C’était une belle propriété, avec de nombreux arbres, des cèdres notamment, j’étais impressionné. Devant la porte d’entrée de la maison, rien ne se passa, personne ne vint m’ouvrir. Étonné et déstabilisé, je me décidai à contourner la maison pour voir si une autre entrée n’y était pas accessible. Je découvris une magnifique terrasse qui donnait sur une piscine dans laquelle le vendeur, Roger, se baignait, tout sourire de me voir arriver ! « Excuse-moi mais il fait vraiment trop chaud et l’appel de la piscine a été plus fort ! » « Tu peux en profiter si le cœur t’en dit ! » Moi : « Ben, je peux pas, je n’imaginais pas que j’allais me baigner cet après et j’ai pas pris de maillot ! » Il rigola à gorge déployée ! « Moi non plus je n’ai pas de maillot ! » ... Je me sentais pris au piège dans lequel je m’étais jeté dans le plus grand trouble. Je lui lançai un petit « ok » et, prenant mon courage à 2 mains, tout tremblant, je me retournai et enlevai tous mes ...
... vêtements, mon tee-shirt, mon short puis, monslip. Je n’en menais pas large. Je n’osais pas me retourner, mais je respirai un grand coup, me retournai en cachant mon sexe, pour memouiller le cou, comme on me l’avait appris, et tout doucement, après m’être à nouveau retourné, je m’introduisis dans l’eau, lui tournant le dos. Mon innocence ne me permettait pas d’imaginer que de lui offrir mes fesses en spectacle était peut-être encore pire pour moi et mieux pour lui ! Que c’était bon ! L’eau avait une température parfaite. Roger ne bougeait pas, ne laissant apparaître que sa tête hors de l’eau. Lui :« Alors ? Elle est pas bonne ? » Moi : « Si ! Parfaite ! » Lui : « Tu peux nager tu sais ! Y a pas de requin à ma connaissance ! » Alors je me lançai à nager en restant sur les bords, lui étant immobile au milieu du bassin. Il tournait pour me regarder. Après quelques tours de bassin à la brasse, perdu dans ce plaisir aquatique, je me mis sur le dos pour faire la planche et quelques mouvements de dos crawlé. J’avais ma queue à l’air libre, toute ratatinée, et je réalisai soudain la bêtise de mon geste ! Je me redressai immédiatement, comme affolé. Roger, très sérieux, lâcha un « dommage ! » puis entama un rapprochement lent en me fixant dans les yeux. À nouveau, comme dans l’auditorium, je me sentis paralysé. Roger devait faire 1m75 pour 70 kilos, avec une petite bedaine. Il avait alors 56 ans. Moi, je ne fais qu’1m60 et je faisais à l’époque tout juste 50 kilos... Il s’approcha de moi, ...