1. Voitures et volatiles


    Datte: 01/01/2019, Catégories: ffh, jardin, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral hdanus, zoo, délire, humour, fantastiqu, merveille, hff,

    ... accompagna alors dans son lent mouvement de va-et-vient. J’attrapai une bouteille de gel douche et en versai un peu sur les épaules de Pandore, un peu sur les épaules d’Azura, un peu sur leurs mains jointes autour de ma queue, et puis, comme ça me démangeait, un peu sur leurs quatre gros seins. Me reculant à peine, je guidai doucement les deux jeunes femmes pour qu’elles se retrouvent face à face, toujours tout contre moi, leurs poitrines pressées l’une contre l’autre. Et tandis qu’entre leurs bas-ventres presque collés, elles continuaient de me "laver" la queue (qui allait vraiment être très, très propre…), je massais doucement leurs dos, étalant le gel douche de leurs épaules jusqu’à leurs fesses (et leurs derrières allaient également être très, très propres…). Elles m’embrassaient chacune à tour de rôle ; parfois c’étaient nos trois langues qui virevoltaient ensemble. Sous mes mains, je sentais la chair délicieusement voluptueuse, ni trop ferme ni trop tendre, de leurs fessiers rebondis. Et sous leurs mains à elles, où la mousse du savon s’épaississait à chaque instant, je sentais la sève monter doucement en moi. Par jeu sans doute, se cambrant et se déhanchant à tour de rôle, elles étaient même parvenues à étaler quelque peu le gel sur leur poitrine. De sa main libre, Pandore attrapa la bouteille derrière moi et versa un long filet de gel douche sur mes épaules. Toutes deux, sans cesser de me masturber, se mirent de leur autre main à me laver doucement le dos. Elles ...
    ... aussi vinrent assez vite se concentrer sur mon derrière. Je sentis bientôt leurs doigts me masser les fesses, s’aventurer le long de ma raie et, lubrifiés par le savon liquide, me pénétrer même doucement l’anus. Je me tortillais sous toutes leurs caresses conjointes ; leurs doigts m’excitaient, leurs visages m’envoûtaient, leurs seins me fascinaient, leurs mains m’emportaient vers la jouissance, allant et venant serrées le long de ma hampe qu’elles branlaient fermement. Et c’est lorsque leurs deux majeurs s’enfoncèrent simultanément dans mon derrière que j’explosai finalement en beuglant et en crispant mes mains sur leurs deux fessiers. Pandore et Azura achevèrent de me laver pour de vrai ; je fis de même avec leurs deux corps qui, même si j’étais parfaitement « vidé » me fascinaient toujours autant. Elles étaient en train de nous rincer et moi de balader encore mes mains sur leurs fesses en me demandant si elles n’auraient pas aussi envie que je les caresse un peu plus sérieusement, lorsque Bazouk fit son apparition, se campant flottillant au-dessus de sa théière juste en face de nous, à l’entrée de la douche (dans laquelle finalement, nous n’étions pas si serrés que ça, à trois. Enfin, si, mais juste comme il faut…). Il prit de nouveau son ton le plus religieux pour m’annoncer fièrement : — Ça y est ! Tu as la voiture dont tu rêvais. Un soupçon d’inquiétude me traversa l’esprit et mes pensées quittèrent momentanément les quatre fesses merveilleuses. Mes mains les abandonnèrent ...
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