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Le chalet des écueils
Datte: 01/01/2019, Catégories: f, fh, fhh, hplusag, fplusag, fagée, couple, couplus, nympho, caférestau, amour, hdomine, humilié(e), ffontaine, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, jouet,
... chérie ?— Oh ! Monsieur, j’étais sur le départ : deux minutes de plus et on ne faisait que se croiser.— Chérie ! Deux bières ! Raymond défia Patrick du regard et ce dernier s’assit sur le banc pendant qu’Anne s’isolait dans la cuisine… Dans le silence des lieux, Raymond marchait, les mains dans les poches. Patrick croisa ses mains et leva la tête. — Nous sommes bien loin des rigueurs de l’hiver !— Et cela contrarie Anne ! Comment était-elle en chef de service ?— Elle était adorable.— Pour écrire un petit mot comme le vôtre, je me doute qu’elle a été très agréable. Raymond poussa un petit rire en mimant un « non ». Il marcha vers la cuisine… et poussa la porte pour s’isoler avec sa femme. Devant son évier, Anne ne relevait pas les yeux. Raymond s’approcha derrière elle avec assurance et il se colla dans son dos. Il tendit sa bouche vers la boucle d’oreille. Il huma son eau de toilette aux effluves de menthe et murmura. — Il est en adoration devant toi, le poète ! Sait-il que tu n’es qu’une vieille vicelarde ?— Arrête.— Que cela te fait jouir de branler des mecs ? Anne contourna l’emprise pour aller vers le réfrigérateur. — Laisse-le tranquille. Je ne serai plus jamais le sujet de ses écritures.— Sur toi, on ne peut écrire que trois lignes. Il faudrait être amoureux pour écrire vingt pages ! Peut-être que l’on retrouvera son récit sur Internet ! Je vois le titre : le jeune écrivain et la vieille vicelarde ! Elle bourra les deux bouteilles de bière dans les mains de son mari ...
... et retourna vers la fenêtre de la cuisine en ôtant ses lunettes. Anne revint dans la pièce en se forçant à sourire. Patrick demeurait assis hésitant à boire et Raymond restait debout en plaidant son rôle de mari. — Il n’y a pas de mal à dire que ma femme est agréable. (Il se tourne vers lui.) Avez-vous envie de la baiser ?— Raymond arrête ! Je ne te permets pas ce langage sous mon toit ! Raymond poussa un rire qui fit s’ébranler son gros ventre. Il marcha doucement vers Anne. — Chez toi ? C’est un raccourci un peu direct ma chère ! (Il se tourne vers Patrick.) Voyez ? Je fais de la poésie ! (Il penche sa tête vers elle.) Sait-il combien tu me coûtes par mois ?— Nous sommes mariés !— Et cela fait longtemps que tu as oublié le sens du devoir conjugal ! La tension rebondissait sur les murs du salon. Le mari se colla dans son dos et il posa une main sur son ventre. Ses doigts prirent la direction de l’entrecuisse. Patrick sursauta et se leva… — Monsieur, vous ne devriez pas…— … Je ne devrais pas quoi, jeune homme ? Finalement, Raymond releva sa main gauche sur la poitrine, pendant que la droite relevait la jupe pour faire apparaître la lisière d’un bas. — Raymond ! Ne fais pas cela. Anne ne levait plus les yeux, la honte lui imposait l’introspection. Sa respiration se précipita, elle ferma les yeux en sentant les doigts l’estimer comme une marchandise. Elle renversa la tête vers l’épaule de son mari. Raymond glissa une main ferme vers un sein et il releva les yeux vers Patrick. — ...