1. Le dressage d'Elodie (1)


    Datte: 11/08/2017, Catégories: Trash,

    ... longue discussion animée. Deux semaines plus tard, nous sommes donc allés à cette soirée. Deux semaines, tout juste le temps pour Élodie d’apprendre à marcher avec ses talons. Quand je la vis sortir de chez elle pour entrer dans ma voiture, je ne fus pas surpris car je l’avais déjà vue ainsi ... une bombe ! Je lui ouvris la porte et la fis entrer dans ma voiture. Lorsque je m’assis au volant, elle me pris par le cou et me déposa un baiser sur ma joue et me dit : — Merci de m’accompagner, ça compte beaucoup pour moi. — Ça me fait plaisir, répondis-je. — Tu n’as qu’à dire qu’on sort ensemble si on te pose la question. Ça évitera les questions dérangeantes. — Si c’est ce que tu veux ... J’avais envie de crier parce que c’était une grande victoire pour moi. Elle pouvait m’imaginer comme quelqu’un d’intime. Je fis la connaissance de ses collègues de bureau, ceux qui travaillaient dans la même section de l’entreprise qu’Élodie. Elle, de son côté, parlait avec son chef de section qui n’avait d’ailleurs pas hésité à complimenter sa tenue. Ses collègues n’hésitaient pas à lui resservir à boire aussi souvent que possible. La soirée passa assez rapidement et lors de notre départ, Élodie était passablement ivre. Je la ramenai donc chez elle. Je l’ai même aidée à monter les escaliers en la portant à moitié. Arrivés à sa porte, elle sortit les clefs de son sac et me fit signe d’entrer. Elle posa son sac sur la table et fila vers sa chambre. Une trentaine de secondes plus tard, j’entendis ...
    ... : — Viens m’aider, s’il te plait. — Pourquoi ? — Je n’arrive pas à enlever ma robe. Mon cœur fit un bond. Élodie était en train de me demander de l’aider à se déshabiller, mais je ne voulais pas qu’elle regrette sa demande le lendemain en disant que j’aurais profité de son état. — Tu es sûre que tu veux que je vienne ? — Oui, viens, on sort ensemble après tout, non ? Ce trait d’humour me fit sourire et comprendre qu’elle savait encore plus ou moins ce qu’elle faisait, mais qu’apparemment ses capacités motrices étaient réduites à cause de l’alcool. J’ouvris alors la fermeture Eclair et elle enleva sa robe. Son corps était encore plus beau que ce que j’imaginais. En plus de son beau visage, trop souvent caché derrière des sourcils froncés, ses seins étaient magnifiques et très bien gardés dans un soutien-gorge. Son string était assorti et j’aurais juré qu’il était un peu mouillé. Tout d’un coup, elle me dit : pgkphhia — Tu veux bien dormir ici ? Je sais que ce n’est pas très poli de ma part, mais si tu pouvais dormir sur le canapé, ce serait cool parce que je ne me sens pas très bien. Si je sais qu’il y a quelqu’un, je serai plus en sécurité. — Pas de problème, tu peux m’appeler quand tu veux. Elle vint vers moi et me serra contre elle, appuyant sa poitrine contre la mienne en me glissant un "merci" à l’oreille. Je mis une main dans le creux de son dos et senti sa peau douce. Elle relâcha son étreinte et je me dirigeai en direction du salon, mon cerveau imaginant toutes sortes ...