AFFAIRES D'HOMMES (3)
Datte: 01/01/2019,
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Dans la zone rouge,
... détermination et la joie cruelle d'André se lisait dans son regard, il éprouvait une immense fierté à détruire cette femme de notable qui le snobait auparavant. C'était maintenant au tour du caméraman de venir tourmenter la jeune femme. « Sandra, ma chérie, dis-nous combien tu aimes être niquée par ce vieil homme noir qui pourrait être ton père? Et quelle sensation éprouves-tu quand sa grosse bite noire dilate ta mignonne petite chatte blanche si serrée?» Sandra, le regard vide, bouche ouverte, léchant ses lèvres, gémissante et haletante comme une chienne, semblait incapable de prononcer une phrase cohérente, tellement elle était ravagée par le martèlement féroce d'André. Cependant, elle réussit à crier: « Ooh, oui, je suis désolée, je sais que c'est mal, mais j'aime ça, j'ai besoin de ça … cette énorme queue noire qui défonce ma chatte. Oh, mon Dieu, pardonnez-moi ... Je jouiiis, je jouiiis, Ooh mon dieu !! ...» Et, pendant que sur l'écran Sandra jouissait bruyamment, André questionna: « Mon père, appréciez-vous la performance de cette douce jeune femme, et que ressentez-vous en la voyant se faire tringler aussi durement par un sale nègre?» « Je ne sais plus ... regardez-la … je ne peux y croire ... ma propre femme ... un autre homme ... un nègre ... la baiser si brutalement ... et elle aime ... tout ce qu'il lui fait subir ... elle est si belle ... si perversement belle ... un noir ... posséder une femme blanche de cette façon ... son jouet ... si distinguée ... ma femme ...
... ... Oh, Seigneur ...» A l'écran, la caméra avait changé d'angle pour montrer le zob d'André s'enfonçant dans Sandra. En vue de dessus, planant au-dessus de son joli cul blanc, on voyait l'énorme pieu d'ébène entrer et sortir de la chatte trempée. L'effet érotique était décuplé par les sons provenant du couple en rut. Les bruits de piston humide, les halètements, les cris, tout le chant d'amour d'un couple qui s’abandonne à la passion. C'était si délicieusement grivois. La caméra changea encore d'angle, montrant le visage en sueur d'André, concentré et déterminé. «Veux-tu ta part?» Questionnant le caméraman. «Nique cette chienne avec moi, elle va prendre son pied ...» « Je peux, vraiment?» s'étonna le caméraman. « Bien sûr, tu peux ... baise-lui la bouche, et si elle veut pas, on s'en fout, hé? du moment qu'on s'amuse … allez, place-toi devant elle et force cette pute à sucer ta bite ... et filme bien sa bouche pendant qu'elle te suce ...» Ils parlaient devant Sandra, ne demandant pas son consentement, pour l'humilier et la dégrader davantage. Ils la traitaient comme une bête, comme leur propriété, un morceau de viande, un objet dont on dispose à volonté. A cet instant, elle a réalisé ce qu'elle était devenue, un jouet appartenant à son Papa noir, sa seule obsession désormais était le plaisir de cet homme, tout faire pour satisfaire le moindre de ses désirs, et cette pensée la fit jouir. Le caméraman se positionna devant Sandra penchée vers l'entrejambe. Pour se soutenir, elle ...