Gentils Médors (3)
Datte: 02/01/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... s’immobilise pour m’enfoncer sa boule dans le fion et se vider en de grands jets de sperme. Serge se masturbe comme un fou, il ne quitte pas des yeux la bite de Médor dans mon cul. Quand je sens que Médor a fini de se vider en moi, je pousse un peu et me libère de son emprise. Il va se coucher sur sa couverture, je pivote pour laisser Serge voir mon sphincter laisser couler le trop plein de sperme par ma rondelle encore grande ouverte. Toujours à quatre pattes, je le regarde par en dessous, il se masturbe toujours. Très vite, il se raidi et je vois un long jet de sperme sortir de son gland et venir s’écraser sur le carrelage, juste entre mes pieds. Mon anus s’est complètement refermé, mes cuisses sont pleines de sperme, je me lève pour aller me doucher. Quand je reviens, Serge a nettoyé son sperme et les traces du sperme de Médor que j’avais laissé sur le carrelage. Il se lève et se dirige vers la porte. –Je ne croyais pas être capable de faire ce que je viens de faire, je suis un peu surpris, mais en définitive pas trop étonné. –Pourquoi ? –Tu sais, avec Guy, nous sommes très liés, ça fait de nombreuses années que nous sommes ensemble et à part aujourd’hui, jamais nous n’avons regardé ailleurs. Toutefois, je commençais à trouver nos relations un peu routinières, il me manquait un peu nouveauté et là, je viens d’en trouver. –A ta disposition pour Médor. –Demain peut-être. –Quand tu veux, il ne demande que ça. Il sort, je le suis avec Médor pour aller acheter de quoi ...
... manger ce soir. Nous rentrons après trois bons quarts d’heure de promenade. Il a l’air repu car il va tout de suite se coucher sur sa couverture. Moi, j’en redemanderais bien un peu plus, mais je laisse Médor se reposer. Après ma douche, je ne suis plus imprégné de l’odeur de Fidèle, il ne réagit pas beaucoup. Au bout de deux heures sur internet, je décide de voir comment il réagit avec moi si je vais le titiller un peu. Je me mets à quatre pattes et viens vers lui. Il est allongé sur le côté, la bite bien rentrée dans sa gaine. Je me penche sur lui et lui lèche le bout de la gaine. Il redresse la tête pour me regarder. J’insiste, et je constate qu’il réagit, sa bite sort lentement de son fourreau. Quand elle est sortie de deux centimètres, il se lève et se met derrière moi. J’ai les fesses pointées vers le plafond, mais ça ne le dérange pas, il m’enjambe pendant que je me mets sur mes bras. Sa bite arrive sur ma rondelle et s’enfonce violemment d’un seul coup au plus profond de mes entrailles. Il me pistonne comme d’habitude. Je suis heureux, il n’a plus besoin de sentir une femelle en chaleur pour me besogner. Il sait que quand je suis à quatre pattes, c’est que je veux qu’il me défonce la rondelle. Cela promet de belles perspectives d’avenir ensemble. Il m’a pris deux fois dans la soirée, il est inépuisable, c’est normal, il est jeune et en pleine forme. Je le promène une dernière fois vers vingt-deux heures et nous allons dormir chacun ans son espace. Le lendemain matin, en ...