1. Rugbymen


    Datte: 02/01/2019, Catégories: fhh, inconnu, sport, douche, Oral pénétratio, fsodo, tutu,

    Tu t’es laissé embarquer par ton copain à assister au match de rugby qui oppose en 2ème division le club d’Agen dont vous êtes tous les deux supporters au club de Périgueux. Le match se joue un après-midi de septembre sous un beau soleil. Tu t’es habillée aux couleurs agenaises, t-shirt bleu et blanc et jupette bleue, ton copain aussi, mais lui est en short, et vous vous êtes aussi grimé le visage. Il n’y a pas un monde fou pour un match de ce niveau, mais il y a une bonne ambiance. Il y a là toute la bande des copains de ton mec, et quelques unes de leurs copines. Vous criez beaucoup, et vous buvez aussi pas mal, le service d’ordre n’a pas été trop regardant sur les canettes dans les poches ou le sac. À la mi-temps, ton copain te propose : — Tu viens avec moi, je vais voir mes potes au vestiaire ?— Ça va pas, tu as vu dans quelle tenue je suis, je vais me faire violer !— Mais non, tu sais, les rugbymen, c’est pas des brutes, ils sont super gentils en dehors des matches.— Bon, bon, si tu y tiens. Jusqu’à présent, tu avais toujours laissé ton copain seul pour ses rencarts avec ses potes, ça t’arrangeait de ne pas sortir avec lui, tu en profitais pour te faire un ciné seule ou passer la soirée chez une copine. Mais là, t’avais pas envie de rester sans lui dans les gradins, et puis, tu étais un peu piquée de curiosité, faut bien l’avouer. Un club de 2ème division, c’est pas les dieux du stade, mais enfin, dans les vestiaires, ça devait quand même dégager pas mal de ...
    ... testostérone. Ton copain, lui, n’avait rien d’un gros baraqué, et tu t’es surprise à frissonner d’excitation pendant que tu descendais les escaliers. — Les gars, je vous présente Claire.— Ouah, putain, t’es canon ! Les exclamations d’admiration fusent. — T’as de sacrées jolies jambes fait l’un et sans attendre ton accord, il te passe une main caressante dans le pli du genou. Toi, tu lui donnes une tape amicale : — Bas les pattes, t’es pas à la mêlée. Mais il y revient : — Eh, Lionel, tu nous la laisses après le match, ta copine ? Toi, tu réponds : — Perdez pas votre concentration, les gars, si vous gagnez, je reviens vous faire un petit bisou. Ta proposition est saluée d’un concert d’applaudissements et de cris. Vous ne restez pas plus car l’entraîneur vous prie de sortir. Tu ne sais pas vraiment ce qui t’a poussée à faire une proposition pareille, mais pendant la deuxième mi-temps, tu n’es plus la même, tu sens des tas de trucs qui se nouent et se dénouent dans ton ventre, des fourmillements dans les jambes, la vue qui se trouble, et ces bouffées de chaleur qui par moments t’envahissent. Tu n’en as qu’à peine conscience, mais tu ne cesses de te projeter sur ton retour tout à l’heure dans les vestiaires. Ton copain, lui, poursuit le match avec la même ardeur et, quand retentit le coup de sifflet final, il exulte et se démène comme un fauve. Lorsque les joueurs quittent le terrain, il te prend par la main et t’entraîne avec lui une nouvelle fois vers les vestiaires. Dans la pièce ...
«1234»