Je suis une femelle salope 16 - Le fist, toujours le fist
Datte: 03/01/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 16 – LE FIST, TOUJOURS LE FIST Adepte depuis plus de vingt ans du fist en tant que receveur, j’ai vécu une expérience nouvelle et assez appréciable cette semaine. En effet, ayant rencontré un mec gay via un site de rencontres, le courant est tout de suite passé entre nous et je suis allé chez lui mercredi. Je passe sur les diverses caresses, sucettes, lèches, feuilles de rose que nous nous sommes mutuellement administrées pour en venir au principal. Lui ayant déclaré dès le début ma passion pour le fist, il m’a fait mettre à quatre pattes, position nouvelle pour moi qui pratique cette gâterie d’habitude allongé sur le dos, jambes en l’air, face à mon partenaire. Et il a entamé immédiatement la pénétration de mon anus, sans presque pas de lubrifiant, doigt après doigt, mais plus rapidement quand même que je le pratique. Très vite, il a introduit sa main en moi, au prix d’une légère douleur, il avait de grandes mains le bougre, mais aussi d’un grand plaisir. Et puis, au lieu de faire des va-et-vient en moi, chose qui me rend généralement fou de plaisir, il s’est mis à me masser l’intérieur, à tourner sa main dans mon ventre et je dois dire que j’ai ressenti un plaisir très diffèrent de l’habitude. Là il ne s’agissait pas d’une simple dilatation mais d’un envahissement, d’une possession. Et en effet il me possédait et c’était plus que bon. Et contrairement à ce qui se passe d’habitude, je ne me suis pas caressé, je me suis contenté de cet ...
... envahissement de mon anus et ce n’est que plus tard, chez moi, que je me suis soulagé avec un gode en pensant à ce que j’avais subi. Mardi, j’ai revu mon mec, je pense que nous allons d’ailleurs nous revoir régulièrement car il semble très apprécier de me besogner…. Arrivé chez lui, donc, je me déshabille sitôt le seuil franchi et la porte fermée. Pour simplifier, et pour l’exciter, je porte uniquement un sweat, un pantalon et des chaussures, aucun sous-vêtement donc. Il se met à poil aussi et nous allons dans la chambre. Il s’allonge sur le dos sur le lit et je me dirige aussitôt vers l’objet du désir, sa queue. Il n’est pas circoncis mais le gland est déjà bien apparent au repos. Je l’engloutis entre mes lèvres et commence à la sucer. Je lui titille le bout du gland, l’urètre et il commence à ronronner. Je passe aux couilles que je lèche et gobe tour à tour. J’ai autant de plaisir à le faire que lui semble avoir à se faire câliner. Comme il relève les jambes, je devine avec ravissement qu’il souhaiterait que ma langue descende dans sa raie. Je ne me fais pas prier et ma langue abandonne ses couilles pour rejoindre son petit trou que je lèche longuement. Vu ses gémissement, il aime cette caresse autant que moi et sa corolle s’entrouvre. Décidément, la feuille de rose est un plaisir qui se partage, donneur comme receveur. Je repasse à sa queue qui est à présent bien ferme et me fais très envie. Pendant ce temps, il ne reste pas inactif et sa main commence à caresser ma chatte. Il rentre ...