1. Rien n'était prévu 3


    Datte: 03/01/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... également tout son corps qui me s'unissait au mien. Il m'embrassait avec volupté, mordillait mon cou, m'embrassait à nouveau, avant de s'éloigner et de me mettre sa queue tout en me regardant dans le blanc des yeux. Étais-je sur terre ou dans quelque paradis inconnu ? La tête me tournait, je gémissais, poussais des cris, tentais de l'attirer à moi, de caresser son torse, son cul tout aussi masculin qui, j'en étais certain, n'avait jamais été percé par aucun phallus. J'attendais avec impatience qu'il ne puisse plus se retenir, qu'il éclate en moi, que son jus de mec coule dans mes entrailles, mais d'un autre côté j'espérais qu'il n'arrête pas de me limer. Un cri que je fus incapable de réfréner sortit de mon gosier, un cri long, puissant, dense. Tom bloqua ma tête de ses pattes de macho. "Vas-y, lâche-toi, laisse-toi aller, p'tite salope. Ne retiens pas tes larmes, c'est de la jouissance qui se déverse sur tes joues. Vas-y, gueule ton plaisir. C'est bon, hein, de jouir du cul ?" Oh oui, c'était bon, mieux que ça, c'était indescriptible. Mes yeux étaient écarquillés, je tremblais comme une feuille, mes jambes se replièrent autour du bassin de Tom qui tomba sur moi de tout son poids. J'avais besoin de le sentir, de lécher son visage, d'entendre sa respiration tout près de mes oreilles. Et là, il m'offrit un cadeau du ciel en éjectant son sperme épais dans mon fourreau. "Tiens, p'tite salope, prends ma semence. Je te féconde pour la seconde fois... Et ce ne serai pas la ...
    ... dernière." Son gland énorme laissa échapper son abondant éjaculat, mais il ne débanda pas, au contraire même. Il me remit alors à genoux, le visage sur le dossier du sofa, appuya ses mains sur ma nuque et me dit "Je vais te prendre comme on prend une salope, tu vas enfin savoir ce que se faire baiser veut dire." Et joignant le geste à parole, il se mit à me donner de grands coups de trique. Il me bourrait comme si sa vie en dépendait, violemment, en se fichant de mes cris et de mes supplications. Il voulait que je ne me fasse aucune illusion quant à la place qui était la mienne, celle du trou qu'il utilisait pour se vider les burnes. J'avais mal, vraiment mal, et en même temps, je jouissais en continue. C'était incroyable, inhumain, fulgurant. Il me secouait comme un prunier, brutalement, sortant régulièrement toute sa bite de mon fion pour mieux y replonger quelques secondes plus tard encore plus profondément. Il me perforait, me déchirait les chairs, m'écartellait, transformant mon trou en une ouverture béante pour son seul usage. Il ne tenait compte ni de moi ni de mes envies, et encore moins de mon ressenti. Et ça me plaisait, je n'aurais pas voulu qu'il en soit autrement. Son plaisir était le mien, et s'il fallait que je me morde mes lèvres jusqu'au sang pour tenir le coup, je le ferais. Ce n'était rien, juste un détail. J'avais dans mon dos un vrai mec qui m'utilisait à sa convenance, comme les vrais mecs le font... comme moi il ne m'était pas une seule fois arrivé de le faire, ...