1. Lucas chez sa cousine (2)


    Datte: 03/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Horrifié, Lucas grimaça. — Non, je ne suis pas gay ! — Dommage, tu as une jolie bouche, je la vois bien avec une grosse bite enfoncée dedans. Et je suis sûre que tu aimerais ça. Amélie avait préparé une salade composée qu’ils mangèrent assis face à face. Lucas avait du mal à s’habituer à sa quasi-nudité comme à la vision de la poitrine volumineuse de sa cousine. — Tu as cours demain ? demanda Amélie. — Juste la prérentrée, je pense. Toi aussi ? — Non, moi c’est après-demain. Je vais en profiter pour trier tes vêtements. Quand tu reviendras nous irons chercher des tenues plus adaptées, il y a des friperies pas loin. — Mais pourquoi… — Tu verras. Lucas dormit comme un loir malgré ses craintes quant à ce que lui réservait sa cousine. À la fac de Droit, il prit connaissance de son emploi du temps dans un amphi archi-bondé. Il revint ensuite à l’appartement où sa cousine l’attendait ; dès l’entrée le blondinet enleva ses chaussures puis son pull et son jean. — Bien ; ton slip est pourri, nous en trouverons des mieux tout-à-l’heure. À table, puis tu feras la vaisselle. Une heure plus tard, ils entraient dans une première friperie. D’autorité, Amélie commença à fouiller dans les robes sous le regard interloqué de Lucas. — Tu t’attendais à quoi ? expliqua-t-elle. À des costumes trois pièces ? Tu porteras des petites robes sexy ras le cul. Et des escarpins à talon haut, tu verras, c’est l’enfer pour marcher, mais tu gagneras dix centimètres. Allez, tu viens ? Tu vas essayer ces ...
    ... quatre robes, je t’ai pris du S. Toute honte bue, Lucas accompagna donc sa cousine dans une cabine d’essayage. Il se déshabilla et enfila tout à tour les robes ; Amélie les arrangea et fit sortir à chaque fois son cousin de la cabine. Dire que Lucas fut surpris en se voyant dans un grand miroir serait au-dessous de la vérité : il se reconnut à peine dans cette blonde gauche et empruntée, mais terriblement sexy qui tournait devant elle. — Bien sûr, tu n’as pas de talons encore, et pas de poitrine. Mais c’est un bon début, non ? Sonné et choqué, Lucas ne put répondre ; il entra dans la cabine et tira le rideau, au bord de la syncope. C’était lui, dans le miroir ? Pas possible, il y avait un bug, un trucage… Le rideau s’ouvrit sur une Amélie furieuse : — Tu fais quoi ? Sors de là… Putain t’es tout pâle ! Tu vas pas t’évanouir, quand même ! Remue ton petit cul ! E garde cette robe, bon sang ! Et elle fonça vers les chaussures dame, suivie par un Lucas flottant dans le brouillard, vaguement gêné de croiser des gens (surtout des étudiants) alors qu’il portait une robe. Et pas n’importe laquelle : une minirobe rouge qui moulait son corps au plus près. Le jeune homme essaya donc des escarpins pour la première fois de sa vie : il chaussait du 39 et avait du mal à marcher dès que le talon dépassait cinq centimètres. Bien sûr Amélie n’en tint aucunement compte, elle choisit deux paires d’escarpins en cuir à talons de dix centimètres. — Bon, c’est parfait, tu pourrais même porter mes ...
«123»