soins à domicile
Datte: 03/01/2019,
Catégories:
Gay
... dégagée. Je sentais son souffle qui donnait des spasmes à ma rosace.- Tu n’as aucun problème de ce côté, je trouve cela très agréable à regarder.- Je lui dis : A quelques millimètres, je ne sais pas comment tu aurais fait !- Ce n’est pas difficile, j’aurais fait comme ça.Son indexe commence à me masser doucement l’anus. Je sens qu’il l’avait mouillé de sa salive pour commencer à l’introduire. Ce début d’investigation me fit gémir, alors Alexandre l’enfonça entièrement sans ménagement. Il le fit aller et venir en le faisant tournoyer pour dilater mon sphincter et y mettre un deuxième doigt qui s’y faufila sans difficulté. Alexandre appréciait les sons que j’émettais. Il fit pivoter ses deux doigts pour aller titiller ma prostate. Il avait visé juste puisque à chaque palpation je poussais un râle de plaisir.Lorsqu’il retira ses doigts, alors que j’écartais encore mes fesses, je sentis quelque chose de plus dur se présenter à l’entrée de mon anus. Il y pénétra doucement sans marquer de pose jusqu’à ce qu’il touche l’autre sphincter. Alexandre vit que je fronçais les yeux, mais ne s’arrêta pas pour autant. Une fois cet obstacle franchit, cela devenait plus agréable. Il était collé contre mes fesses, je sentais sa présence en moi. Dans la position qu’était la mienne, je ne pouvais pas voir sa bite. Je pensais qu’Alexandre avait une sacrée longue queue. Il saisit ma verge qui avait perdue un peu de sa vigueur pour la ranimer. Il commença à la branler doucement. Sentant la raideur ...
... revenir, il accentua le rythme sans oublier de tirer le plus loin possible sur mon prépuce et décalotter au maximum mon gland luisant en laissant apparaître tous ses reliefs, le bourrelet bien dessiné, l’urètre ouvert, le frein prêt à céder. Il restait quelques secondes ainsi, comme pour en détailler tous les détails. Je repris une position allongée au moment ou je sentis qu’il avait pris dans sa main nos deux sexes. Je compris à ce moment que ce n’était pas son sexe que je sentais toujours dans mes entrailles, mais un gode. Il masturbait en concert non deux tiges. Sa queue était aussi dure que la mienne. Nos prépuces glissaient en même temps, nos glands se frottaient de concert. Il les faisait rouler entre ses doigts pour étaler le lubrifiant. A ce rythme, nous n’avons pas résisté longtemps avant que je reçoive deux jets puissants de sperme jusqu’à mon visage, le reste s’est répandu sur mon torse, mon ventre. Jamais je n’avais reçu autant de jus. Après avoir repris notre respiration, Alexandre est allé dans la salle de bain pour nettoyer sa queue. Pendant ce temps, j’utilisais la serviette de soins pour ôter une partie de tout ce sperme sur mon corps. Je finis par retirer doucement le gode pour ressentir encore un peu de plaisir. En voyant la longueur du gode, je compris pourquoi je le sentais aussi profond en moi. Une fois ôté, j’avais l’impression que mon trou restait béant.Alexandre revenu, j’ai vu sa queue pas entièrement au repos. Elle n’était pas trop grosse, mais assez ...