1. Ne serait-ce que coïncidences ?


    Datte: 04/01/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, cérébral, revede, pénétratio, coupfoudr, amiamour, amourcach,

    L’histoire que je vais vous raconter concerne aujourd’hui un homme de mon âge, dont j’ai été la première expérience sexuelle quand nous avions quatorze ans. Les débuts de cette relation est importante pour la comprendre. Ma première expérience avait été des plus désastreuse et humiliante. Une amourette de vacances, il m’avait fait croire qu’il était amoureux, je me suis fait avoir… Ma sexualité s’abordait mal ! Puis, à quatorze ans, nous étions en troisième, nous sommes sortis ensemble et nous avons fait l’amour. C’était pour moi, comme une nouvelle première fois. Avec du recul, cet acte relevait plutôt du « je l’ai fait » qu’à du réel plaisir. Mais il m’a réconciliée avec la sexualité. À quatorze ans, on ne réfléchit pas. Je l’ai quitté, sûrement pour un détail futile, comme à mon habitude. La cour d’école faisait courir des rumeurs qui, disait-on, émanaient de lui. Je me suis donc vengée avec d’autres rumeurs, bien plus embarrassantes. Bêtises d’ado, plus que méchanceté. Je redouble ma troisième, lui aussi. Encore un an à le supporter ! Puis nous passons en seconde, dans deux lycées différents… Ouf ! Mais je le retrouve dans ma classe en première, cette probabilité était infime vu le nombre de sections et de lycées dans cette grande ville ! Puis s’enchaîne la terminale… Toujours ni un regard, ni un échange. Ça me semble même pénible ! Et le clou du spectacle : nous allons suivre le même BTS, dans le même lycée, dans la même classe… À cette période-là, j’étais avec ma « ...
    ... première vraie relation », lui aussi. Il était discret, presque insignifiant. Septembre, la rentrée en BTS. Tout le monde s’installe et je le vois entrer dans la classe… Il avait subi une métamorphose pendant l’été. Il avait toujours eu pour lui de très beaux yeux, une très belle bouche, de belles dents blanches correctement alignées, mais là, tout était mis en valeur par ce qu’il dégageait. Je suis tombée de suite folle de Lui. Mais notre « conflit », surtout généré par moi-même, allait être difficile à désamorcer. Nous avions des actions à faire en collectif, il fallait donc s’entraider. Un jour, nous nous sommes retrouvés tous les deux, nous avons discuté. Je me suis excusée d’avoir été aussi odieuse, j’avais même honte ! La discussion tourne bien, le courant passe. Mais moi, je suis déjà en transe. Il me plaît, il m’attire ! Je ne comprends d’ailleurs pas ce qu’il m’arrive. Nous descendons fumer une clope et de manière incontrôlée, je le colle contre le mur et l’embrasse. Il ne se débat pas. Le soir même, je quitte le copain avec qui j’étais. Nous nous sommes envoyés en l’air pendant deux ans. Dès que je le voyais, je ne pensais qu’à lui en moi… Oubliant presque nos études, j’aurais voulu qu’on soit enfermés tous les deux dans une chambre, à faire l’amour oubliant tout le reste. J’ai jamais su vraiment ce qu’il pensait de tout ça… Juste une fois, un texto« Tu es une déesse au lit ». Il est vrai que je suis, dans neuf cas sur dix, l’instigatrice de nos assauts. Avec lui, j’ai ...
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