1. Sans mâle et sans tabou (4)


    Datte: 04/01/2019, Catégories: ff, fsoumise, humilié(e), chantage,

    ... Pour l’exciter davantage, Sandra se met alors à agiter les reins pour se frotter contre elle, suivant le rythme de la main qui va-et-vient en serrant si fort le gode qu’elle en est crispée. Leurs bouches se dévorent sauvagement, dans une passion si brutale que Salma semble reprendre ses esprits, s’écartant brusquement de sa partenaire, comme pour échapper à son emprise. Confuse, elle tente de comprendre ce qui lui arrive. Un voile épais lui brouille la vue et une boule lui noue l’estomac tandis qu’un tremblement voluptueux agite tout son corps. Cette boule au milieu du ventre, c’est de la faim, un désir primitif qui lui assèche aussi la gorge. C’est dans un état second qu’elle voit Sandra reculer. Celle-ci s’étend à même le sol, allongée sur le dos, avec toujours cet impressionnant phallus gonflé et bien raide qui pointe droit vers le plafond. Devant cette vision indécente et ce silence qui se prolonge, Salma a brusquement l’impression d’étouffer, d’être écrasée par la tension qui l’habite, comme si la pièce tout entière se rétrécissait et se faisait trop rare en oxygène. Elle se sent défaillir, gagnée par une violente bouffée de chaleur. L’inconnu de ce qui l’attend l’oppresse, l’emplissant d’une sourde anxiété qui se mêle malheureusement à une vive curiosité sensuelle qu’elle ne peut réfréner. Jamais elle n’a eu autant conscience de sa faiblesse, maudissant de toute son âme un corps qu’elle ne reconnaît plus et qui frémit dans l’attente des événements. Comme elle semble ...
    ... hésiter, Sandra l’appelle d’une voix presque suppliante : — Allez, viens… Monte sur moi. Salma avance sans qu’elle le veuille, comme si ses jambes ne lui obéissaient plus. Elle s’immobilise à l’aplomb du gode tendu que Sandra maintient bien droit, dressé vers le haut. Puis, enfin, elle enjambe le faux pénis, cuisses écartées, intimité ouverte. Lentement, le buste bien droit, elle fléchit les genoux et, millimètre par millimètre, s’abaisse sur le gode. Comme une chose vivante, celui-ci trouve sa voie, atteint le bulbe fendu, pénètre un peu. L’énorme phallus en latex écarte les chairs, distend les lèvres intimes, s’enfonçant davantage. Puis, d’un coup, il glisse dans la longue fente charnelle aux muqueuses déjà mouillées, gonflées d’un désir impétueux. Le gode semble happé, pressé, absorbé par un puits humide et chaud dans lequel il glisse jusqu’au fond, cognant jusqu’à sa source. N’y tenant plus, d’un seul coup de reins, Sandra s’enfonce encore plus loin. Salma lâche un cri rauque et se mord les lèvres jusqu’au sang, se retenant de ne pas gémir de façon discontinue. Sandra la saisit aux hanches, se mouvant en elle d’un long et imposant va-et-vient, de plus en plus vite. Salma n’essaie même plus d’échapper à cette extraordinaire intrusion dans ce qu’elle a de plus intime, une lascive pénétration qui la brûle et la submerge de sensations fabuleuses, uniques, si fortes, si grandissantes… Une vague qui grossit et déferle, s’arrêtant net alors que Sandra cesse soudainement de bouger, ...