De bien belles vacances (2)
Datte: 04/01/2019,
Catégories:
Gay
... saurait ? Dans tous les cas, je me suis mis à bander encore plus fort. — Tu sais, tu peux me dire….tu as droit….fille..ou garçon….ou les deux… Je n’avais jamais parlé de ça avec ma mère. Je suis un peu gêné mais la situation m’excite toujours autant. Elle me prend dans ses bars, enserrant mes épaules, emprisonnant mes bras. Ses seins se plaquent contre mon torse. Je seins ses tétons sur ma peau. J’ai l’impression que mon maillot va se déchirer, que ma queue va exploser. xevxjjtc — Tu es un homme maintenant, tu as droit de découvrir ces choses, dit-elle en relâchant ses bras. Sa main passe sur mon sexe dressé. Je ne sais pas si c’est volontaire mais elle s’arrête et regarde mon maillot déformé avec sa main dessus. — Dis donc mon chéri, tu es en pleine forme ! dit-elle avec un sourire…coquin. - Excuses moi….je …. Elle referme la main sur ma verge au travers du maillot. — Quand tu m’as crémée tout à l’heure….tu fais ça si bien….je….moi aussi, je suis ….excitée Elle est toute proche. Sa main emprisonne toujours mon membre qui vibre entre ses doigts. Elle respire plus vite. Elle s’approche encore. Ses seins effleurent à nouveau ma poitrine. Elle serre plus fort ses doigts. Je manque d’air ! J’entre-ouvre la bouche pour aspirer. Elle colle ses lèvres sur les miennes. Sa langue glisse entre mes dents. Son baiser est long, sensuel, merveilleux. Je le lui rends alors qu’elle se couche sur moi. Elle me dévore le visage, frottant son bassin sur le mien. Ma queue me fait mal dans mon ...
... maillot. Je lui caresse le dos puis descends vers ses fesses. Elle parvient à faire glisser mon maillot, libérant enfin mon sexe tendu à l’extrême. Elle s’en saisit et le branle. Sa buche n’a toujours pas quitté la mienne. Je lui saisis les seins. Quel bonheur de toucher enfin cette poitrine que j’ai tant regardé ! Lorsqu’elle lâche ma bouche, je me jette sur ses tétons pour les sucer. Elle gémit fortement. Je parviens à défaire son bas de maillot. Elle se frotte encore, puis emprisonne ma queue entre ses cuisses. Je sens la moiteur de sa chatte sur ma bite. Mes coups de rein instinctifs frottent mon gland sur ses lèvres détrempées. Elle écarte ses cuisses, m’ouvrant la voie de son antre. Je la prends d’un coup. Elle s’affale sur mon pieu en râlant de plaisir. Ses ongles me griffent la poitrine, attrapent mes tétons. Je lui maintiens les fesses et je la pilonne par en dessous, rythmer par le claquement de mon bassin sur ses cuisses. Sa chatte dégouline de bonheur. Elle gémit sans discontinuer jusqu’à ce qu’elle explose dans un grand cri. Elle se contracte sur mon membre, l’aspirant au fond de son ventre. Je jouis à mon tour en me cambrant, poussant encore un peu plus ma queue dans sa matrice. Elle s’affale alors sur moi de tout son poids, respirant bruyamment, le temps de reprendre ses esprits. On a joui très vite, trop vite, comme deux amants trop longtemps séparés. J’aurais voulu faire durer ce moment magique, unique sans doute, car elle ne voudra sans doute pas recommencé. — ...