Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claude (1)
Datte: 04/01/2019,
Catégories:
Hétéro
... repoussent mon slip avec difficulté pour se saisirent de ma teub toute dure, mon cœur bat la chamade. Même dans mes fantasmes les plus fous, je n’aurais imaginé un tel scénario, me faire tripoter au ciné par une inconnue aussi belle ! Sans se soucier de son compagnon, elle referme ses doigts autour de ma verge turgescente, la relâche soudain mais revient aussitôt à la charge et me branle lentement, avec énormément de douceur. Elle extirpe ma teub à l’air libre et fait coulisser sa main avec une lenteur exaspérante à la limite du supportable tout le long de ma queue. Ma bite complètement dilatée est aussi dure qu’une pierre, je voudrais qu’elle me branle avec plus d’énergie. Je suis une vraie boule de nerfs. Je lance mon bas-ventre en avant, pour lui faire comprendre mon désir. On dirait qu’elle a compris mon message, et elle accélère graduellement sa masturbation, sa main me branle alternant lenteur et vivacité. Les minutes passent vite et je sens que je ne vais plus tenir bien longtemps. Les couilles contractées par le plaisir arrivant à son apogée, je regarde mon sexe fièrement dressé dans sa main. Ses doigts autour de ma verge gonflée coulissent à un rythme effréné. Mon bas-ventre se crispe, je sens l’orgasme venir. Dans un réflexe que je ne peux contrôler, je lance mon bas-ventre au-devant de sa main bienfaitrice. Elle glisse à mon oreille : –Tu aimes quand je te branle? Je ne sais que répondre mais anone de la tête. Sa main autour de ma bite frémissante accélère encore, ...
... pressant le gland à chaque remontée, déclenchant aussitôt des soubresauts de plaisir. Je sens la jouissance monter dans mes couilles. Ma queue se raidit encore si c’est possible, prête à l’éjaculation. Dans une merveilleuse délivrance, mon sperme jaillit avec force par saccades sans fin de mon gland dilaté. Sous la violence de la jouissance, je manque d’hurler dans la salle. Ma voisine qui n’a pas arrêter de me regarder pendant tout le temps qu’elle m’a masturbé, comprend immédiatement à la crispation de mon visage ce qui se passe et dans un réflexe referme vivement sa main autour de ma verge d’où jaillissent dans la pénombre en jets puissants et ininterrompus mon sperme qui macule le siège devant moi et passe même par-dessus. De son autre main elle recueille comme elle peut une partie de ce précieux nectar à l’intérieur de sa paume. Je sens toujours la pression de sa main autour de ma queue qui ne veut pas débander. Des paroles murmurées à mon oreille me tire de mon état second : – C’était bon ?... Tu as aimé ?... Quel merveilleux spectacle tu m’as offert, mieux qu’à l’écran ! Reprenant alors mes esprits, je tourne mon visage et la regarde. Elle me sourit avec tendresse, retire délicatement sa main de ma bite et la porte à sa bouche. Là, d’une langue gourmande elle lèche longuement le creux de sa paume, recueillant le sperme qui s’y ’était déposé. Une fois la main entièrement nettoyée, elle prend mon poignet et le pose sur son bas-ventre, elle avait remonté sa robe fourreau, ...