1. Ma sœur jumelle (2)


    Datte: 04/01/2019, Catégories: Lesbienne

    J’étais dans le lit avec Léa, on était toujours nues. Je repensais à ce que je venais de faire. Un petit sourire de dessinait sur le coin de mes lèvres. A ce moment, je crois que ma sœur dormait, j’en profitais pour me toucher avant de m’endormir, ma sœur m’excitait terriblement. Le lendemain au réveille, elle m’attendait nue, je revoyais son corps d’ange, et les souvenirs de la veille, de nos baisés délicieux. Après m’avoir réveillée, elle m’attrapa la main pour m’emmener dans la salle de bain. Et sans attendre, elle m’embrassa langoureusement, pendant de longues minutes. Je recommençais à mouiller, elle était magnifique, si élégante et gracieuse. On passa sous la douche, elle était derrière moi et me caressait les seins avec ses mains savonneuses. Je sentais l’air chaud qui sortait de sa bouche contre mon cou, et les petits bisous qu’elle me faisait. Les mains d’Eva glissèrent de mes seins jusqu’à ma chatte. Un gloussement sortit alors de sa bouche quand elle effleura mon clitoris. Je commençais à gémir alors qu’elle me massait les petites lèvres. C’était si bon, il y avait une telle harmonie entre ma sœur et moi. Je ne pouvais plus me retenir, sa chatte était collée à mes fesses, et ses seins écrasés contre mon dos. Alors qu’elle avait enfoncé 2 doigts dans mon vagin, des spasmes tout entiers me parcouraient le corps. Un cri de plaisir sortit de ma bouche alors que tout mon corps frissonnait. En seulement deux minutes, elle avait réussi à me faire jouir, je lui devais ça ...
    ... et je savais que la journée qui s’annonçait allait être riche en émotions. Eva me tenait dans ses bras pour ne pas que je m’écroule, l’orgasme était si fort que j’en perdais l’équilibre. Elle plongea ses doigts trempés de mouille dans sa bouche, elle murmurait gentiment à mes oreilles qu’elle avait très bon goût. Puis à nouveau, elle m’embrassait, il y avait un mélange de cyprine et de salive de ma sœur, un vrai cocktail de bonheur. En passant ma main contre sa vulve, elle était très chaude et humide. Mais il se faisait tard, donc après quelques caresses, on finit de se laver puis de s’habiller. Lors du petit déjeuner, il y avait une certaine complicité entre Léa et moi, je la sentais un peu euphorique. On n’a pas arrêté de se toucher depuis hier soir. Le plaisir était amplement partagé par toutes les deux, pourquoi s’en priver ? Dans le bus, comme d’habitude, elle se trouvait sur mes genoux. Quelques mains baladeuses se perdaient sous sa jupe, je lui faisais quelques chatouilles aux fesses et aux cuisses. Elle m’avait fait jouir, mais je n’ai presque pas touché à son entrecuisse aujourd’hui, seulement quelques caresses sous la douche et les souvenirs d’hier soir. Je ressentais le besoin d’être proche d’elle, de son sexe, je voulais lui donner autant de plaisir que je pouvais, sentir son parfum, je voulais la voir jouir par mes coups de langue. Mais je ne voulais pas non plus tremper ma culotte dès le matin, et lorsque Sophie arriva dans le bus, Léa se mis sur le siège d’à ...
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