1. En route vers l'Allemagne


    Datte: 05/01/2019, Catégories: fh, fhhh, extracon, cocus, inconnu, voyage, Partouze / Groupe

    Ça va faire plusieurs mois qu’Andreas est devenu mon amant suite à ma petite folie d’exhib sur la route aux côtés de mon chouchou d’amour, mon Charles à moi de mari. Le hasard fait bien les choses, mon camionneur est parfait dans son rôle. Le petit souci est que lui et moi, ne parlons pas exactement la même langue, nous mélangeons donc allègrement de l’anglais avec de l’allemand et du français, avec parfois d’autres langues, mais Andreas sait très bien me faire comprendre que c’est moi qu’il désire, et sa bouche sert alors à autre chose qu’à parler ! Et je ne vous parlerai pas de ses mains et du reste… J’aime quand Andreas est à moi, que pour moi ; j’aime aussi quand nous faisons des trios. Bref, j’aime tout, je suis conciliante. J’aime surtout le fait que comme je ne vois pas tous les jours mon amant, nos retrouvailles sont alors intenses. Je me lâche carrément ! Quant aux sentiments, c’est indéniablement Charles qui a l’exclusivité. Et ça nous arrange tous les trois. Néanmoins, je sens bien qu’Andreas commence à devenir de plus en plus exclusif. Je suis en quelque sorte sa seconde chance, vu ma ressemblance avec sa fameuse Veronika, l’amour malheureux de sa jeunesse. Parfois, ça me chiffonne d’être une remplaçante, mais au moins vingt ans se sont écoulés depuis. Et puis, j’ai aussi à cœur de consoler Andreas de son mariage raté… En parlant de consoler, je suis allongée toute nue avec Andreas, nous venons de faire l’amour sur la large banquette arrière du camion. Je caresse ...
    ... distraitement son sexe qui reprend petit à petit du poil de la bête. Mon amant n’est pas en reste, caressant d’une main mes seins avec un bras passé sous mon cou et de l’autre mon pubis. Très bonne synchro de ses deux mains ! Tout en me caressant, il demande à mon oreille : — Next weekend, do you come with me?— Euh… where?— At home, in Germany, Deutschland…— And your wife?— No problem, she will go at her mother. Il me serre contre lui : — I want some days with you, only you and me…— And Charles ?— You live with Charles every day of the year…— Pas faux… euh, you say true…— I want two days, only you and me! À partir de maintenant, je crois que ce sera plus simple que le reste de l’histoire soit en mode traduit aménagé. Surtout qu’Andreas et moi, nous baragouinons tant bien que mal l’anglais officiel, nous le massacrons allègrement, de quoi pousser au suicide un prof anglo-saxon. Nous sommes tombés d’accord sur l’étude du Basic English, mâtiné de Simple, un projet déniché sur le web, que nous avons étudié avec soin afin de pouvoir causer, le tout avec aussi une pointe de Globish. Et bien sûr, prononcé avec un accent plutôt germanique, même pour ma part. Ça fonctionne très bien, même si un puriste s’arracherait les cheveux. C’est alors que je réalise que si on nous avait imposé à l’école une langue internationale plus facile, genre espéranto ou uropi, ça serait quand même plus simple pour tout le monde sur cette basse terre ! Curieuse, je demande à mon amant : — Et tu veux faire ...
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