1. L'amour d'un père (4)


    Datte: 05/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... cheveux pour l’encourager. Elle parait bien, détendue, heureuse. Elle fixe sa sœur d’un air amoureux et bienveillant qui me comble de bonheur. Je suis si fier que mes petites filles s’aiment autant, contrairement à ces familles où les sœurs s’entredéchirent. — Hmm, Angela, tu fais ça si bien. Continue, ma chérie. Elle remue un peu pour s’installer plus confortablement contre les oreillers. Angela est si passionnée dans ce qu’elle fait. Elle est littéralement collée sur Nancy. De là où je suis, j’ai une vue splendide sur son petit cul rebondi. J’ai du mal à me contenir. Je n’en peux plus de les espionner. M’astiquer ne me suffit pas, j’ai besoin de les baiser ; je meurs d’envie de les rejoindre. Sa fente dégouline de mouille, comme si elle me suppliait que je vienne la prendre. C’est trop. J’ai honte d’interrompre ce moment si intime, mais je ne supporte plus d’être spectateur. J’ouvre la porte et entre dans la chambre. Nancy me sourit à me voyant arriver la bite à l’air. Je me sens rassuré de recevoir son consentement. Je monte sur le lit. Angela n’a pas l’air de se rendre compte de ma présence jusqu’à ce que je la pénètre. Je gémis de bonheur. C’est exactement ce qu’il me fallait : m’enfoncer dans la chatte de mon petit chaton. Elle est surprise, mais ne se rebelle pas. Rien ne peut la distraire de son cunni. J’en profite pour lui faire du rendre-dedans et me faire du bien. Je réalise à quel point j’étais en manque, comme si cela faisait des jours que je n’avais pas tiré un ...
    ... coup, ce qui n’est pourtant pas le cas. — Alors papa, me fait Nancy. Elle est bonne la chatte d’Angela ? — Oh, putain, mon bébé, si tu savais ! — Hmm, mais je sais, je viens de la gouter. — Je sais, ma chérie, j’ai tout vu. — Tu nous espionnais ? Cela t’a excité ? — Tellement que je n’ai pas plus me retenir de venir jouer avec vous. Tu ne m’en veux pas ? — Bien sûr que non. Je t’avoue que j’ai très envie de me faire défoncer par ta grosse queue. — Tu auras ton tour, je te le promets, mais laisse-moi profiter encore un peu de ta sœur d’abord. Angela n’a toujours aucune réaction. Elle se laisse faire comme si elle était notre jouet. Cela m’excite terriblement. Elle aussi s’il faut en croire combien elle mouille sur ma bite. Je lui donne une fessée, puis accélère mon rythme en la prenant par les hanches. Ce que j’aime baiser ma petite fille. Je ne m’en lasserais jamais. Je la pilonne ainsi pendant plusieurs minutes, quand elle s’arrête de lécher Nancy pour me demander : — Papa, encule-moi, s’il te plait. — Vraiment, ma chérie ? — Oui, j’ai envie. Je suis bien trop heureux pour refuser. Je grimpe sur elle comme un animal et m’enfonce dans son cul accueillant. Je sais que je ne devrais pas la limer aussi brutalement pour commencer, mais je n’arrive pas à être raisonnable. Si je ne devais pas m’occuper de sa sœur après, je me laisserais bien éjaculer dans son cul. Dieu que c’est difficile d’avoir deux femmes à satisfaire. — Tu es si belle quand tu joues les petites salopes, Angela, ...
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