1. Handicap3


    Datte: 11/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... je ne l'ai pas vu non plus. Alors... je le trouve... le voilà !Sur son bureau, il y a un tas de bras métalliques qui lui servent à utiliser son ordinateur._Ça te dérange de me détacher et de me poser sur le lit ? Prend la télécommande comme ça, tu lanceras le film quand tu seras installé.Stéphane détacha Marie pour la mettre sur son lit médicalisé._Ah... mon dos..._Tu as mal où ?_Dans le bas, c'est à force de rester au fauteuil ça_Attends... je vais prendre l'oreiller là..., levé la barrière de ton lit, poser l'oreiller là, comme ça tu peux t'appuyer dessus, et moi je vais te masser le dos. Là. Tu es bien installé ?_Oui c'est parfait merciStéphane lui massa le dos par dessus son t-shirt. C'est du bout des doigts, qu'il manipule ses lombaires tassés._Ah... en tout cas, tu ne t'es pas trompé de voix, ça fais du bien_MerciLes soins au dos terminés, il la redressa, et lança le film avant d'entamer un massage des « épaules » et de la nuque. Marie se détend, c'est les première fois qu'elle bénéficie d'un massage dans sa chambre, car l'osthéo du foyer effectue toujours ses soins dans son bureau ; jamais en chambre. Ses tissus s'assouplissent sous les doigts de son masseur, qui finit par les retirer. Dans une bulle de bien-être et de détente, Marie se laisse tomber sur Stéphane qui ne dit mot, même s'il n'est pas très à l'aise, car il n'a rien sur quoi s'appuyer. Il la prit délicatement avec lui, et recula pour s'adosser au mûr situé à quelques centimètres derrière lui. Il est aussi ...
    ... à l'aise que l'Albatros sur le pont du navire, il faut le voir ne sachant que faire de ses ailes qui tombent à côté de Marie se reposant sur lui. Lors des premières scènes d'action, Marie sursaute, l'affalant un peu plus contre Stéphane qui l'agrippe sous « ses hanches » pour la redresser : ses mains sont en contact avec sa peau nue, mais les laisse tout de même là où devraient naître des jambes. La vue des blessures du héros la crispe un peu, obligeant le nôtre à contracter ses poignets pour la maintenir en position. Elle ne porte pas de sous-vêtements, pour quoi faire, qu'ils glissent et tombent ?_Ça va, tu es bien installé ?_Oui, je suis encore mieux que dans mon pouf en sable. Et toi ? Ça va, je ne te fais pas mal ?_Non ne t'en fais pas_Et le film te plaît ?_Oui et toi ?_Oui !Peut-être trop captivé par le film pour y prêter attention, ses mains et leur emplacement ne font l'objet d'aucune remarques. Il ne peut pas s'empêcher de faire glisser ses doigts contre sa peau, comme si il sentait qu'elle avait besoin d'être rassurée, à moins que ce ne soit pour se rassurer lui. Gêné malgré tout, il décide de poser ses mains sur les babines du droopy flanqué sur son t-shirt ; à peine les y a t-il posé que Marie ondule, comme pour mieux se caler dans l'ouverture de ses bras et accueillir ces mains qui daignent bien vouloir se poser sur elle. Désormais enveloppée dans ses bras, elle ne peut ni glisser, ni tomber sur le côté. Stéphane perçoit cette ondulation comme une approbation, et ...
«12...91011...15»