1. Stéphanie (3)


    Datte: 05/01/2019, Catégories: Transexuels

    16. 28. 157. 158. 159. Il écrivit juste un court "Ajoute les chaussures que tu voudras. Bonne nuit Stéphanie." et coupa la conversation. 16 était un pantalon noir d’une matière assez souple et assez stretch, plus agréable qu’un jean, mais aussi nettement plus fin. 28 un polo noir classique à col roulé et manches longues. Par contre les autres nombres correspondaient à des achats récents de mon maître, que j’avais essayé mais pas encore porté à l’extérieur. Une paire de bas bleu vif, un string et un serre-taille porte jaretelles de la même couleur... tous en latex. Je ne m’attendais pas à ça. J’aurais voulu une tenue aussi discrète que possible, au moins temporairement... J’avais déjà porté un soutien gorge en latex que je m’étais achetée, et j’avais été séduite par cette matère. Outre que j’avais vite chaud en le portant, et que je transpirais donc parfois en dessous, le latex avait tendance, dans certaines situations, à crisser, entraînant un bruit caractéristique pour qui sait le reconnaitre. Mais... malgré la peur, l’excitation me submergeait. C’est comme si j’étais attirée par la honte et l’exposition au public. Mon maître avait raison, j’étais sans doute une exhibitionniste dans l’âme. Jean ne m’ayant pas autorisée explicitement à me masturber, je du passer une nuit difficile. M’habiller ne fut pas chose facile non plus. Le talc blanc et mon pantalon noir ne faisaient pas bon ménage, surtout que je ne pu m’empêcher de prendre le temps de lustrer le latex. Cela me mit en ...
    ... retard, et dans la précipitation, ajouté au stress de revoir Stéphanie j’avais chaud, et je commençais à transpirer sous le latex. J’aimais particulièrement cette sensation, mais ça risquait de se voir. Jusqu’à ce que je m’asseye dans la voiture c’est ce que je craignais le plus. Ce n’est qu’une fois assise que je découvris le vrai problème. Le soleil passait pas la fenêtre, se posait sur mes jambes, et la tension sur le pantalon trop fin laissait apparaitre les jaretelles aux attaches métalliques par transparence... D’autant qu’elles étaient plus épaisses que la moyenne. J’arrivai au bureau avant Séverine, qui prenait toujours le boulot une heure après moi. J’étais assise lorsqu’elle arriva, enfoncée le plus loin possible sous mon bureau. Le soleil ne venait pas jusqu’à moi, mais la pièce était bien trop lumineuse quand même. — Salut Sam ! Comment vas-tu ? — Bien, merci. Et toi ça va ? — Oui oui. Quand elle passa dos à moi pour aller vers son bureau, je ne pus m’empêcher de regarder sa tenue, ébahie. Elle portait une jupe droite noir assez moulante, ce qui était assez fréquent pour elle, mais surtout des bas coutures couleur chair ! Je ne l’avais jamais vue comme ça. Une fois assise, Séverine se tourna vers moi avec un grand sourire : — "Tu as quelque chose à dire ma chérie ?!" Je ne sais pas si ce fut l’expression "ma chérie" ou la vue des bas coutures, mais j’avais soudain reperdu la parole. Nous étions seules au bureau, comme souvent, et la matinée passa sans encombre, si ...
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