1. Ma tante et sa fille complotent contre moi (6)


    Datte: 05/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Quelle gourmande cette tante! Quelle affamée de bite, ma maman!!! Je lui baisai violemment la bouche, m’enfonçant au fond de sa gorge (malgré ma bite large et longue, elle était parvenue dès la première fois à l’avaler entièrement), pour ressortir dans une explosion de bave gluante et un râlement sauvage de Jeannine qui reprenait son souffle avant de m’encourager à y aller plus fort! - Continue mon bébé, baise la bouche de ta mère!! Hmm je t’ai attendu toute la nuit!!! Et d’y retourner comme un bourrin! Évidemment, je n’en pouvais plus et à peine avais-je replongé ma bite dans sa gorge brulante que la crème arriva. Juste le temps de m’extraire de ce palais des délices pour lui gicler de grosses salves de sperme opaque et gluant qui venaient s’écraser sur ses joues, son nez, son menton, sa langue, et y restaient collées. C’est simple, elle était recouverte de mon foutre, et gémissait comme uneputain. N’en pouvant plus, ni-même rassasié, j’étalai ma crème sur son visage avec mon gland, sur son front, sur ses narines pour que mon odeur l’inonde, avant d’en récolter et de ramener cette nourriture dans sa bouche. Elle s’empressa d’attraper ma verge à deux mains et de me sucer amoureusement en avalant ce que je lui offrais à boire... Elle s’y affairait avec un mélange de douceur maternelle et d’euphorie libertine. - Tu aimes ça baiser ta Maman quand elle dort? Et qu’elle vide bien tes grosses couilles? J’espère que oui parce que moi j’aimerais pouvoir faire ça tous les jours... ...
    ... plusieurs fois par jour... - Oh Maman... dis-je en lui remettant ma queue au fond de la gorge en la maintenant par les cheveux. Ses doigts massèrent mes couilles, c’était divin. Je donnai de légers coups de reins, je ne débandai toujours pas. Son visage souillé m’excitait à mourir. Son nez s’enfonça dans mon bas ventre, elle en voulait toujours plus et tapa doucement sur ma cuisse pour me signifier qu’elle devait respirer. Je la libérai et de nouveau un énorme filet de bave dégoulina sur son menton et son débardeur, totalement souillé. Elle me proposa alors de lui retirer son haut et d’utiliser toute cette belle bave pour me branler entre ses grosses mamelles, qui, en les découvrant, étaient d’une beauté invraisemblable. D’autant que rapidement, des petites perles de lait commencèrent à pointer le bout de leur nez... Elle saisit ses deux seins sur les côtés et les pressa l’un contre l’autre, m’invitant à glisser ma longue verge entre eux. Ce que je fis... La sensation était merveilleuse. Là entre ces deux obus souillés d’un mélange succulent de sperme, de bave et de lait... C’était trop pour moi. Tous mes fantasmes les plus sales se modifiaient et prenaient un nouveau visage: celui de Jeannine. Je bourinai comme un dégénéré, et elle commença à crier. Je lui plaquai alors mes mains sur la bouche. Ou plutôt, une sur la bouche, et l’autre sur le cou, pour l’étrangler tendrement. Elle jouit à cet instant précis. Un orgasme très intense, ses yeux roulèrent dans leur orbite, et la ...