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Récit libertin de Jean - Episode 2 - Rencontre
Datte: 05/01/2019, Catégories: Première fois
... t’aime. » Nous aurons donc trois heures ensemble pour apprendre à se connaître et s’embrasser. J’ai hâte d’être mercredi. Je rentre vers 12h15 mais je ne suis pas capable de manger quoi que ce soit. J’attends. L’heure ne semble pas tourner et les dernières minutes semblent durer la journée. Je me masturbe vite fait dans la salle de bains pour faire tomber l’excitation et être sûr de ne pas éjaculer trop vite, au cas où. Vers 13h15, je me pose à la fenêtre pour observer la rue. Il n’est pas possible d’y venir en voiture et j’espère que personne de mal intentionné verra Cécile rentrer chez moi. 13H35, toujours personne. J’espère maintenant qu’elle a vraiment pu se libérer. Une femme arrive en bas de chez moi mais ce n’est pas elle. La sonnerie m’arrache un sursaut. Je me dirige vers la porte et la femme avec un foulard sur la tête était en fait Cécile. Je la fais rentrer. Elle enlève son foulard et son long imperméable. Elle est maquillée, porte des talons et une robe bleue qui révèle ses formes. Nous nous embrassons pendant de longues minutes. Je lui propose une boisson et nous buvons un thé. La fin du mois d’octobre étant là, les journées sont courtes et il commence à faire très froid. Cécile me raconte sa vie. Elle se sent comme un oiseau qu’on veut garder en cage et il n’y a que le théâtre qui la sort de cette vie morose dans laquelle elle évolue. Maintenant que je peuple ses rêves, c’est plus facile à accepter. Je n’ai pas vraiment le temps de parler. Je sens qu’elle a ...
... besoin de se confier et c’est moi qu’elle a choisi. Elle me raconte tout en détails. Quand vient le moment où elle me raconte comment elle pense à moi le soir, je suis excité. Elle se couche sous la couverture en pyjama et elle commence par se toucher le ventre et le haut des cuisses à travers le tissu. Très vite, elle passe une main sur ses seins et l’autre descend dans son pantalon. Elle se caresse comme ça pendant de longues minutes. Elle sait qu’au bout d’un moment elle va sentir un vol de papillons dans son ventre et elle adore cette sensation. Habituellement, elle ne va pas plus loin mais hier, non. Hier soir, elle avait en tête notre rencontre d’aujourd’hui et elle s’était fait engueuler à table parce que les professeurs du lycée la trouvaient rêveuse et que sa mère savait bien à quoi elle pensait. Hier soir, les papillons ne lui suffiraient pas. Elle voulait que ce soit des oiseaux qui s’évadent de son corps. Hier soir, quand les papillons ont pris leur envol, elle a continué de se caresser plus vite et plus fort. Les jambes bien écartées pour avoir plus de place. Le pyjama était devenu une prison pour son corps et elle l’avait enlevé. Étalée sur les couvertures elle avait pris du plaisir, beaucoup de plaisir. Elle avait même dû refréner l’envie de crier pour ne pas ameuter la maison. Puis elle s’était endormie. Heureusement, la fraîcheur de la nuit l’avait réveillée sinon, sa mère l’aurait sans doute trouvée allongée nue sur les couvertures. Le récit de ses séances de ...