1. Un mariage très touchant


    Datte: 06/01/2019, Catégories: fh, 2couples, couplus, cocus, inconnu, fête, chantage, contrainte, noculotte, intermast, pénétratio, fsodo, hdanus, hfisté, échange, entrecoup, fplusag, hplusag,

    ... savoir qu’elle se faisait masturber par un autre homme m’excitait… que mes deux voisines étaient également à croquer… et que si le mari d’Évelyne avait une panne pour sa nuit de noces, elle pouvait toujours taper à ma porte. J’étais littéralement ivre de désir, des images clignotaient devant mes yeux… J’avais l’impression de voir Audrey, assise sur la table, se faisant masturber au vu et au su de tous, pendant que je répandais mon plaisir sur la nappe… Évelyne, à genoux devant moi dans sa robe de mariée, en train de me sucer goulûment… Ma jeune et jolie voisine, allongée sur la table, son corsage dégrafé, subissant mes assauts… et d’autres fantasmes encore plus dérangeants. Combien de temps s’est écoulé ainsi, je ne sais plus vraiment. Je suis revenu à moi lorsque Luis s’est levé soudainement, puis a murmuré quelque chose à l’oreille d’Audrey, qui a rougi, m’a regardé d’un air coquin, a hoché la tête, puis s’est levée à son tour. Nous étions près de la fin du repas, et quelques personnes avaient commencé à quitter la table, sans pour autant qu’un mouvement général se soit amorcé. D’ailleurs, je ne savais plus vraiment pourquoi j’avais attendu aussi impatiemment qu’il n’y ait plus personne dans cette pièce… J’ai sursauté en réalisant que ma voisine venait d’abandonner mon sexe. Un vague éclair de lucidité me poussa à en profiter pour agir. Audrey et Luis avaient déjà disparu, mais je voulais profiter de cette chance qui m’était donnée de les rattraper cette fois-ci, pour… je ...
    ... n’étais plus vraiment sûr pour quoi. J’ai plongé une main sous la table pour remballer aussi discrètement que possible mon sexe dans mon pantalon. Mon membre durci ne se plia qu’avec peine mais je parvins à me rajuster, et je jaillis comme un diable d’une boite de ma place pour me ruer vers les toilettes. Toilettes, qui, je le découvris aussitôt, étaient complètement vides. Je suis resté abasourdi quelques instants, puis j’ai entrepris d’étudier l’arrière salle. Il n’y avait pas tant de portes que ça. Après avoir failli atterrir dans la cuisine, je me suis rabattu sur une salle que je savais être le vestiaire. Un léger gémissement que j’entendis en entrant m’attira vers une petite porte entrebâillée à l’arrière de la pièce. En me glissant dans l’embrasure, je pus voir qu’elle donnait sur une petite pièce servant visiblement de débarras. Les deux occupants de la pièce étaient Audrey et Luis. Audrey était à quatre pattes sur le sol qui avait été recouvert de quelques vêtements. L’une de ses mains disparaissait entre ses propres cuisses. Derrière elle, Luis, la braguette ouverte, était en train d’introduire un sexe de taille respectable entre ses fesses. Audrey gémissait doucement, et je pouvais très bien entendre ce qu’elle disait. — Ooooh, doucement, s’il vous plait… on ne me l’a jamais fait… oooh— Ne vous inquiétez pas, Audrey, fit Luis d’une voix étonnamment douce et respectueuse, je vous pénètre le plus lentement que je peux… N’arrêtez surtout pas de caresser votre clitoris ...
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