Comment ma femme s'est dévergondée (5)
Datte: 11/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... bien t’habituer à cette situation ! Sandra s’approche de lui, mets ses deux mains sur son épaule, approche son visage. — Oh oui, chéri… Tu me feras l’amour plein de fois… Tu me fais bien jouir, j’ai envie de toi ! Je sens les larmes monter. Il me raccompagne à la porte. Referme à clef. Je rentre. Seul. Je pense à tout ça. Tout ce que j’ai vécu aujourd’hui. Je m’assied dans le canapé. Les images défilent. Quand nous sommes arrivés chez lui, il a embrassé ma femme sur la bouche. Ca a commencé là. Je l’ai vu ensuite la déshabiller. Elle n’a rien dit. S’est laissée tripoter. Puis elle l’a sucé. Il l’a baisée. Devant moi. Elle a jouit avec un autre homme devant moi. Elle l’appelle même "chéri". J’ai les boules, les glandes. Et moi qui ne dit rien, me laisse faire, les laisse faire. Ensuite ma femme qui lui demande de "lui faire l’amour". L’épisode dans la chambre. Carrément "au lit". Re-baise. En ma présence qui ne les dérange pas. Les excite, peut-être. Voir tout ce sperme couler de sa chatte. La voir le ventre souillé de ce même foutre. En avoir partout, des placards. Et la voir s’amuser d’être enspermée par son amant. La voir le sucer. L’entendre jouir lorsqu’il la possède. L’entendre crier, hurler de plaisir. Les souvenirs de cette folle journée tournent en boucle dans ma tête. 20 heures. Je sors sur la terrasse. Vais écarter les branches de troènes. Ils ne sont plus sur la terrasse. Où sont-ils ? Dans la chambre ?? La fenêtre est encore ouverte, je n’entends rien. Mais ça ...
... ne veut rien dire. La jalousie monte, me ronge. J’ai envie d’aller sonner. Mais je n’en fais rien. Je rentre. Je vais me faire à manger, ça m’occupera l’esprit. Je prends le poulet froid que Sandra m’a indiqué. Je nettoie une salade. Prépare la sauce. Je mets la table. Une seule assiette. Je m’écroule en pleurs sur le canapé. Je pleure pendant 1/2 heure. Sanglotant, je vais chercher le poulet, la salade. Essuie mes larmes. M’attable. Les premières bouchées ne passent pas. Je sors sur la terrasse. 20 h 45. Ils ne sont pas dans la chambre. La fenêtre est toujours ouverte mais la pièce n’est pas allumée. La salle à manger est allumée, le salon aussi. Ils doivent dîner. Je reviens et tente de manger. Le poulet ne passe pas. Je débarrasse et met tout à la poubelle. Puis me sers un whisky. Puis deux. Un troisième. Je sais que ce n’est pas la solution, mais je le fais. Je retourne sur la terrasse. La fenêtre du salon est ouverte. J’entends des bruits de couverts qui s’entrechoquent. Je les entends parler et rire. Assis sur le bord de la porte-fenêtre je bois mon verre de whisky, la bouteille à côté de moi. Je ne tiens pas en place. Trop angoissé. Je me lève, vais dans le salon, allume la télé. M’assied sur le canapé, verre à la main, bouteille à proximité. Film policier. Je n’arrive pas à me concentrer. Je regarde l’heure. 21h 50. Je cours voir sur la terrasse. Le salon est dans le noir, la chambre, fenêtre ouverte, est allumée ! Ils sont dans la chambre ! Je rentre. Dans le canapé, ...