1. Philippe, mon voisin impitoyable - Bonus FINAL (Partie 4)


    Datte: 06/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... de la chambre et quitta l’appartement en me laissant seule avec son mari, Philippe, mon voisin impitoyable. Cela faisait au moins trois minutes que nous nous regardions sans rien nous dire. Philippe qui avait décidé de ne pas me lâcher d’une semelle était planté dans l’entrée de la chambre. -Te voir dans cette robe m’excite beaucoup trop. Ça me rappelle les sous vêtements que tu mettais quand on se voyait. Ça ne te rappelle pas des bons souvenirs ? -Pas que des bons ! -Vraiment ? Lentement, il se rapprocha de moi et me colla contre le mur. Encore une fois, cette proximité me troubla. -Qu’est-ce que tu fais ? lui demandai-je en respirant bruyamment. -Arrête de te mentir à toi-même. Je sais que je te perturbe parce que tu sens que tu as envie de moi. Sans que je n’ai le temps de répliquer, il posa ses mains aux creux de mes reins et les fit glisser sur mes hanches puis sur mes fesses. Malgré moi, mes jambes faiblirent et je commençai à avoir chaud. Comment mon corps pouvait-il réagir comme ça ? Étais-je à ce point en manque de sexe ? Rassemblant le peu de volonté qu’il me restait, je posai mes mains sur les siennes et je les tirai pour tenter de me libérer et m’éloigner de lui, en vain. À la place, il attrapa fermement mes poignets et les plaça au dessus de ma tête. -Lâche-moi ! lui lançai-je. Tu me fais mal. Arrête… Au lieu de me libérer, il me serra les poignets plus fort et colla son entrejambe contre le mien, me calant encore plus contre le mur. Sans que je puisse y ...
    ... faire grand chose, mon sexe commença à s’humidifier lorsque je sentis une bosse se former sous son pantalon. Philippe approcha alors sa bouche de la mienne puis avec rage il m’embrassa. Au début, j’essayai de me débattre, puis petit à petit, je commençai à lui rendre son baiser. J’avais perdu la bataille, je n’avais plus aucun contrôle de moi même. Subitement, il lâcha mes poignets et passa ses mains dans mon dos afin de dézipper ma robe, puis il me la retira, la laissant tomber sur le sol. Sans ménagement, il m’agrippa par les cuisses pour me porter jusqu’au lit qui était dans la chambre et il m’allongea dessus. Mon cerveau me hurlait que c’était la pire des idées et que je devais fuir, mais mon corps lui refusait de réagir, bien au contraire. Ses lèvres toujours scellées aux miennes, Philippe fit sauter mon soutien gorge en quelques secondes et pour la première fois depuis très longtemps, je me retrouvai seins nus devant lui. Sa bouche gourmande glissa ensuite sur mon cou puis sur ma poitrine fièrement dressée et il commença à me sucer et à me caresser les seins. J’étais à sa merci, mes envies ayant pris le dessus sur ma raison, lorsque nous entendîmes un bruit de serrure. En une fraction de seconde, Philippe se releva et tandis que je remettais mon soutien gorge, il attrapa ma robe et me la balança. -JE SUIS DE RETOUR ! hurla Nathalie au loin en refermant là porte d’entrée. Prise de panique, je tentai tant bien que mal de réenfiler la robe tout en regardant Philippe d’un air ...
«12...456...12»