Arctique !
Datte: 07/01/2019,
Catégories:
fh,
alliance,
Oral
pénétratio,
Le vent soufflait comme une furie à travers le désert blanc. Les sifflements incessants faisaient peur à Najak, qui restait près de sa petite sœur dans l’igloo. L’hiver n’en terminait plus. Le froid devenait de plus en plus piquant. La neige obstruait régulièrement le tunnel de sortie de l’igloo et la jeune Najak ne cessait pas de le dégager. La jeune femme frottait constamment les membres inactifs de sa sœur Nuliaq qui était enceinte de six mois. Une forte fièvre la tenait inerte depuis quelques jours. Najak avait peur que la maladie ne la tue, elle et le bébé, avant que son beau-frère ne revienne de la chasse. À court de provisions, Choris avait profité d’une accalmie météorologique pour partir chasser le phoque. Cela faisait trois jours. Rien d’inquiétant à cela ! Toutefois la tempête faisait rage et la jeune Inuite se sentait seule avec la femme enceinte. Cette angoisse, Najak l’avait déjà ressentie il y a un an lorsque son époux était parti plusieurs jours pour chasser. Une semaine plus tard, elle l’avait retrouvé mort à quelques centaines de mètres de leur igloo. Depuis ce jour, son beau-frère Choris et sa sœur Nuliaq l’avaient recueillie auprès d’eux. C’est au moment où Najak rajoutait une étoffe de plus sur sa sœur en délire et en nage, que du bruit l’attira à l’entrée de l’igloo. Le vent sifflait fort. Elle redoutait la venue d’un ours à la recherche de viande. Mais c’est son beau-frère qui déboula. Complètement recouvert de glace, il lâcha des quartiers de viande ...
... sur le sol et s’affala sur sa couche, exténué. Najak ne perdit pas de temps et abreuva Nuliaq d’un peu de sang et de viande qu’elle avait au préalable mastiqué. — Mik, Najak, Mik (s’il te plaît, s’il te plaît), implorait-elle en regardant son mari effondré sur le sol, à moitié mort. Najak savait bien ce qu’il fallait faire. Elle avait bien vu sa mère le faire souvent et, elle-même le dut quelquefois, lorsque son mari rentrait d’une rude pêche. Toutes les femmes inuites se transmettaient ce savoir, ces gestes de survie. Le repos du guerrier n’était pas une vaine expression dans le peuple autochtone des régions arctiques. Approchant de son beau-frère, l’Inuite lui enleva son lourd manteau. Puis, elle ôta les différentes couches de vêtements. Son beau-frère était nu. Sa peau bleue lui fit peur. Osant à peine regarder les parties intimes, elle tourna la tête vers sa sœur pour avoir son approbation. Nuliaq lui sourit et l’implora de faire vite. À moitié mort, Choris était inconscient. Avec une certaine appréhension, Najak retira ses vêtements. Quand ses petits seins tout ronds touchèrent la peau glacée de son beau-frère, ses tétons se dressèrent et des frissons parcoururent son corps de femme. Elle se recouvrit d’une immense fourrure et de différentes étoffes. Leur masse l’écrasa contre le corps froid du mari de sa sœur dont la respiration très saccadée avertit la jeune femme de son état de santé. Il fallait faire vite pour le réchauffer. Najak le serrait très fort. Ses petits bras ...