Ma relation avec Andrée
Datte: 07/01/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
rasage,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
amourdura,
... monde dans le TGV 8701 pour Quimper. Andrée me communique le téléphone de son fils ; je peux la contacter quand je le souhaite : ses enfants seront absents et tante Clémence ne désapprouve pas notre liaison. J’embrasse les deux femmes en signe d’adieu avec une caresse sur la tête de Plum enfermé dans son sac de voyage. Je souhaite bon voyage à tout le monde, promettant de leur téléphoner demain quand la famille de Bretagne sera partie en villégiature. Andrée m’accompagne jusqu’à la porte du TGV et en me remerciant pour tout ce que je fais pour lui rendre service, elle dépose un baiser sur mes lèvres avec ces derniers mots : — Crois-tu que nous ayons un avenir tous les deux ? J’ai juste répondu : — Oui je pense, mais ne me fais pas trop attendre, reviens vite. ∞∞∞∞∞ Les jours passent, je monte régulièrement chez Andrée pour arroser les plantes vertes. C’est aussi pour moi le prétexte d’être plus près d’elle, de me créer des fantasmes et des souvenirs. Les « gardiennes de Bretagne » ont fait bon voyage et se plaisent au milieu du granit et des hortensias. Il fait toujours un temps magnifique en cette seconde quinzaine de mai et elles apprécient le bon air de la côte. L’océan est tout proche et Plum apprécie de courir dans l’immense jardin breton. Nous nous téléphonons régulièrement, deux fois la première semaine, tous les deux jours la semaine suivante et quotidiennement cette dernière semaine. Heureusement, le retour est prévu pour demain soir. Trois semaines seul, c’est ...
... long et je mesure le vide occasionné par l’absence d’Andrée. En ce samedi après-midi, c’est le retour des vacancières à 17 h 15 à la gare Montparnasse par le TGV 8042. Bien sûr, je suis en attente sur le quai à l’emplacement où s’arrêtera la voiture n° 8 car je ne laisse le soin à personne d’aller attendre « mes femmes ». Voilà le train qui entre en gare à l’heure exacte et à la descente de tout mon petit monde, je me demande qui est le plus heureux ou la plus heureuse. Côté mâle, j’ai personnellement le cœur serré et la queue au garde à vous dans mon slip trop étroit. Plum est tout joyeux de revoir un visage connu et il me fait la fête quand j’attrape son sac de voyage des mains de sa maîtresse le libérant de sa prison de voyage tout en maintenant la laisse. Côté féminin, Andrée descend la première, je l’aide pour sa valise ; elle me fait un bisou rapide sur la bouche puis aide sa tante à descendre sur le quai. Une dame courtoise porte sa valise que je récupère, je remercie cette personne pour son amabilité ; je la regarde à peine, mes pensées sont ailleurs ! Je reviens vers Andrée qui, bien sûr, a toutes mes attentions. Nous nous disons bonjour par les bises d’usage d’abord pour tante Clémence puis pour Andrée que je gratifie de quatre bises, deux sur les joues et deux à la commissure des lèvres avec ces mots « Bonjour chérie ». Elle me murmure les mêmes mots « Bonjour chéri ». — Allez les jeunes, ne faites pas de simagrées, dit sa tante, je sais ce que c’est de se retrouver ...