1. Ma relation avec Andrée


    Datte: 07/01/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, voisins, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme rasage, entreseins, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, amourdura,

    ... puis je fignole mon travail en repassant partout avec un rasoir neuf de façon à avoir une peau la plus lisse possible. Je touche avec la main, c’est parfait, pas une égratignure. J’engage Andrée à se caresser pendant que je fais une photo de sa chatte rasée. Entre les deux photos, il ne s’est pas écoulé plus de vingt minutes. — Qu’en penses-tu mon amour, comment te sens-tu ?— C’est bien et c’est tout lisse, passe-moi une glace que j’admire ton chef-d’œuvre, car je suppose que tu ne veux pas que je descende maintenant ! Je lui prête une glace pendant que je rassemble les poils dans une enveloppe avec la date du dimanche 17 juin 1990 inscrite dessus. Cette enveloppe, je la conserve toujours précieusement vingt ans plus tard. Nous n’allons pas rester comme cela, sans amour, devant un sexe dépoilé qui me donne des idées. Je positionne un tabouret en bout de table et je m’y assois. Andrée a toujours les jambes en l’air m’offrant à hauteur sa minette toute mouillée. Je l’approche de moi et plonge la tête entre ses cuisses pour sucer le clitoris tout en lui soutenant le bassin en bordure de la table, le majeur dans le cul et le pouce dans le vagin. Je peux ainsi presser la paroi rectovaginale, donnant des sensations de légères décharges électriques à Andrée. Puis, abandonnant l’anus, j’introduis ma main fermée dans son vagin en fist-fucking mais le passage n’est pas suffisant pour pénétrer tous les doigts au-delà de la seconde phalange. En retirant le pouce, je peux entrer jusqu’à ...
    ... la troisième phalange mais pas plus. J’abandonne donc cette idée pour revenir avec deux doigts dans le vagin, l’index et le majeur à rechercher le point G derrière le méat urinaire. L’avantage de cette position, c’est de pousser par l’intérieur sur le clitoris qui ne tarde pas à sortir raidi de son capuchon comme une petite bite que l’on décalotte. Je continue de l’aspirer, de le sucer et de le titiller avec la bouche, si bien qu’il devient rouge turgescent et de plus en plus raide jusqu’à l’orgasme qu’Andrée ne peut plus retenir. Je me retire mais je continue de dérouiller la chatte avec mes deux doigts recourbés à l’intérieur jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter avec insistance : — Arrête mon chéri, c’est trop bon et trop fort, je ne peux plus le supporter ; je jouis comme jamais et je sens une envie d’uriner.— Ne te retiens pas, lâche-toi complètement, va jusqu’au bout. Et je reprends mes caresses internes, l’autre main appuyant sur sa vessie. Elle se lâche enfin totalement avec des soubresauts de plus en plus vifs, hauts et forts que j’ai du mal à maîtriser. Un jet d’urine jaillit de son urètre. Je replonge la tête dans sa vulve pour récupérer ce nectar doré qui a le goût d’urine et de foutre mélangés. C’est totalement vidée qu’elle s’abandonne sur la table, ne pouvant plus faire le moindre geste tellement son plaisir a été fort. Je la repositionne sur la table pour qu’elle puisse récupérer dans une position plus confortable que les deux jambes en l’air, en poussant son ...