1. Vapeurs de rêve


    Datte: 21/06/2017, Catégories: grp, couple, inconnu, sauna, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe init, tutu,

    Pfiouuu… Fait chaud ici. Et puis ça sent bizarre… Voici cinq minutes que nous sommes dans la cabine et déjà nous perlons à grosses gouttes. Tu es installée sur le petit banc dans le coin, je suis assis sur celui qui est en longueur et, pour une fois, je ne me touche pas. On se regarde en souriant, l’œil malicieux et nos corps nus. Détente, rêveries, moiteur, nous ne parlons pas. Dans l’autre coin, il y a le dispositif sur lequel se trouvent les pierres qui chauffent et l’eau que l’on peut verser sur les pierres afin qu’elles dégagent d’autres vapeurs. Mais je ne pense pas y retoucher avant la fin de cette demi-heure. Je suis bien, je me délasse, je ferme un peu les yeux… Soudain la cabine tremble. On entend un roulement mécanique. La cabine bouge puis s’arrête et se tait. On se regarde, un peu inquiets. Tu as ce sourire qui trahit une interrogation. Le verrou de la porte de la cabine s’ouvre, la porte reste close. Nous n’entendons rien de plus. Nous nous interrogeons du regard et ce regard demande "Qu’est-ce qu’on fait ?" Poussés par la curiosité, nous entrouvrons la porte. On ne distingue pas grand-chose, mais nous pouvons constater que l’extérieur n’est pas le même que celui par lequel nous sommes entrés. L’air est moins chaud qu’ici mais tout de même vaporeux. Un homme passe nu devant nous. Il nous fixe un moment et nous dit : — Pardon, je cherche ma cabine. Tu me demandes : — On va voir ? Je te réponds : — On va voir. J’ouvre la porte en grand et descends la petite ...
    ... marche en premier. Tu me suis de près, collant tes seins contre mon dos, je te prends la main. La vapeur est omniprésente et nos pieds trempent dans une eau chaude. Je me cache le sexe d’une main, tu te caches derrière moi et nous avançons timidement. L’espace doit être grand, et il y a d’autres personnes qui traversent les volutes. Mais que font-elles ? Ça chuchote ça et là, nous avançons encore. Le mystère est aussi épais que le brouillard et nous nous sentons vulnérables. Je vois des fesses, des fesses d’homme on dirait. Cet homme nous tourne le dos. Il semble trembler mais nous ne voyons pas bien. Nous le contournons pour ne pas le gêner et toi, (mateuse !) tu jettes un coup d’œil pour savoir ce qu’il fait. Tu as l’impression qu’il se branle, cette idée t’excite mais tu ne m’en souffles mot, tu sais comme je peux être jaloux parfois. Cette fois, tu en es sûre : il se masturbe. Il tient son sexe érigé et le branle lentement. Si tu ne vois pas bien le visage de cet homme, tu peux par contre voir son sexe, ses couilles, son gland et sa main aller et venir… Une question te vient à l’esprit : "Et s’il éjaculait ?" Une sensation te vient dans le corps : "J’aimerais bien le voir jouir…" Puis de nouveau une question : "Mais qu’est-ce qu’il fixe ?" Tu reprends, un peu abasourdie, ton chemin vers moi, ma main te servant de guide et, lorsque ton regard se détache du sexe de l’homme, tu te cognes la tête dans mon épaule. — Aïe ! te plains-tu à voix basse. Tu te frottes la tête, je me ...
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