1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 07/01/2019, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne

    Ce récit est une histoire (a priori vraie) que l’on m’a racontée. Ensuite, j’ai seulement changé, les lieux, l’époque, le nom des personnages et quelques autres « menus » détails, mais sinon tout le reste est une transcription fidèle ! Où l’on fait connaissance avec Marie-Jo Le téléphone qui n’avait pas arrêté de sonner ! Maintenant la porte d’entrée ! Après les coups de sonnette, on tambourinait contre sa porte ! Putain, on pouvait pas la laisser crever tranquille ! La tête sous la couette, elle se plaqua les mains sur les oreilles pour ne plus entendre. Mais ça continuait. Lorsque les coups cessèrent, ils furent remplacés par une voix qu’elle reconnut aussitôt. — Marie-Jo, je sais que tu es là ! Ouvre-moi !— Putain, Cécile, j’ai envie de voir personne, murmura-t-elle du fond de son ivresse. Et j’ai même plus de gin. Va te faire foutre. Elle entendit une autre voix, un de ces connards de voisin. — Qu’est-ce que c’est que tout ce barouf ?— Je suis inquiète pour mon amie ! Elle ne répond pas au téléphone.— Elle est peut-être tout simplement absente, dit l’homme d’un ton condescendant.— Non, je suis sûre qu’elle est chez elle ! Elle ne répond pas au téléphone. Il a dû lui arriver quelque chose.— Dans ce cas-là, appelez les flics. Inutile de rameuter le quartier. « La police, et encore quoi, on a le droit de se saouler la gueule chez soi », se dit Marie-Jo. Mais elle n’avait pas envie de voir les flics débarquer chez elle ; surtout dans son état et celui de son appart. Elle ...
    ... s’extirpa de son lit et tituba jusqu’à sa porte. — Ça va, ça va, j’arrive, déclara-t-elle d’une voix avinée. J’dormais. En tâtonnant, elle parvint à ouvrir sa porte. Cécile entra précipitamment. Repoussant Marie-Jo, elle ferma rapidement la porte, en priant pour que le voisin n’ait pas eu le temps de voir le spectacle affligeant offert par son amie. Celle-ci, nue, bras ballants, tanguait sur place. Elle regardait Cécile de ses yeux rougis par l’alcool et les pleurs. Cécile n’en revenait pas. Marie-Jo offrait habituellement l’image d’une femme séduisante, toujours habillée sexy, une femme bien en formes comme elle les aimait. En face d’elle, aujourd’hui, se tenait (ou plutôt tentait de se tenir) une épave. Les cheveux toujours bien coiffés pendaient filasses, sales. Le visage dépourvu de tout maquillage faisait peur. Tout ce laisser-aller ne parvenait pas, malgré tout à enlaidir le corps de la jeune femme. Une paire de seins lourds tombants que ses petites mains n’auraient pu contenir, un joli ventre rond à la peau toute lisse que nulle maternité n’avait abîmé, sur lequel elle aurait bien posé sa tête, un sexe entièrement dissimulé par une toison luxuriante et surtout des hanches marquées, des cuisses fuselées, marque d’une féminité qu’elle, thon qu’elle était, n’aurait jamais. Depuis qu’elle la connaissait, Cécile désirait Marie-Jo, mais leur amitié lui était trop précieuse pour qu’elle tentât quoi que ce soit avec une hétéro notoire et, jusqu’à peu, en couple. Quand elles se ...
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