1. Les errances d'un candauliste (3)


    Datte: 07/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Le troisième écart de Justine s’était déroulé cette fois-ci dans un lieu public et fait exceptionnel je n’étais pas très loin de l’incident, j’ai même pu entrevoir l’évènement... Nous nous étions rendus à Paris afin d’assister à un concert un vendredi soir et pour ce faire nous avions loué un studio peut-être un peu trop loin du centre de Paris (raison économique) – Le concert (hard rock) fût fantastique mais nous avions abusé sur la bière et ivres, nous nous sommes perdus dans le labyrinthe des transports en commun parisien ; si bien que nous n’avions plus d’autre choix que d’attendre deux longues heures dans une nuit printanière en attente du premier RER B vers cinq heures du matin. Justine faisait la gueule, elle était courte vêtue (mini jupe) et elle avait froid, mais surtout sa jalousie latine dominait son humeur, car une fille, à la fin du concert, m’avait donné un morceau de papier sur lequel se trouvait son numéro de téléphone, je n’avais pas tout de suite compris qu’il s’agissait d’un plan drague et naturellement cela avait profondément énervé ma douce. L’heure était enfin arrivée de prendre le RER pour un long trajet jusque notre studio, fait plutôt rare les wagons étaient très peu fréquentés. Une fois installés et bien calfeutrés, Justine qui n’en avait pas terminé avec moi avait décidé de reprendre la querelle (en haussant la voix) au sujet du numéro de téléphone... « si je n’avais pas été là tu serais en train de la baiser, hein connard ?! » - Elle a baissé d’un ...
    ... ton, sans doute par honte, lorsque trois mecs assez imposants et bruyants ont emprunté notre wagon pour se rendre dans la voiture suivante. Elle n’avait pas remarqué combien ces mecs l’avaient maté en passant mais avait bien entendu le petit vocable de « salope » entre leurs rires sardoniques. Je n’en pouvais plus de ses reproches injustifiés et je me suis emporté en lui disant d’aller se faire foutre, sa réaction fut fulgurante, de rage elle empoigna son sac à main en concluant par un « bye connard ! » et quitta aussi sec le wagon. Je ne me suis pas inquiété davantage, j’étais assez certain de la revoir très vite et je me suis assoupi pour finalement me réveiller un peu brusquement quelques minutes plus tard. Justine n’était pas de retour. Je me suis alors un peu penché pour voir à travers la vitre de séparation des voitures si elle y avait pris place. Mon sang n’a fait qu’un tour. Justine était au fond de l’autre wagon, debout, l’un des grands gars de tout à l’heure était plus au moins face à elle, il avait sa main sous sa jupe, Justine tentait à demi de le repousser et à demi, par sursaut, elle remuait sous l’attouchement. Les deux autres mecs avaient la bite à l’air, se levaient parfois pour toucher ses seins lourds à travers son t-shirt et puis reprenaient place pour se branler. Je bandais. Je savais en plus qu’elle fantasmait beaucoup sur les blacks. Elle ne se défendait plus, le mec était en train de la faire jouir, elle offrait son bassin à cet attouchement de plus en ...
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