1. J'aurais aimé


    Datte: 08/01/2019, Catégories: fh, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation confession,

    ... entendre des mots crus de sa bouche, qui m’auraient excitée et mise à sa disposition. J’aurais aimé qu’il me demande d’enlever ma culotte, car maintenant que je l’ai fait une fois en public, ça m’amuse beaucoup et je suis prête à le refaire. J’avais repéré cette tablée d’hommes juste derrière moi. J’aurais aimé qu’il m’exhibe à eux. Il m’aurait demandé de me caresser la chatte sous ma robe. Je l’aurais fait en le regardant, et insolente je lui aurais présenté mes doigts à lécher. Il les aurait pris un par un, lentement, les nettoyant minutieusement de mon précieux jus recueilli. Pas avare en exhibition, il aurait certainement ajouté des bruits de succion peu discrets afin de bien alerter nos voisins de table sur notre petit manège. Comme il est gourmand, il en aurait redemandé et cette fois mes voisins n’auraient rien loupé de l’intromission de ma main sous ma robe, puis dans mon con trempé. J’aurais fermé les yeux et me serais caressée jusqu’à la limite de l’orgasme. Je lui aurais susurré en ouvrant les yeux :— J’ai très envie de te sucer.— Tout à l’heure tu l’auras ma bite. Et je te baiserai. Fort puis lentement. On nous matera, tu aimeras ça, ma salope !Oui, j’aurais aimé… Sa main me caresse la joue, doucement, et me tire de ma rêverie : — On y va ? Retour à la réalité. Oui, on y va. C’est plus facile en rêve qu’en vrai. Finalement, le club n’est rien de plus qu’une boîte de nuit, avec des coins un peu plus aménagés, pour des choses, disons plus osées et plus dénudées. ...
    ... De la baise, quoi. Il me fait visiter les lieux. Des petits coins plus ou moins grands, certains fermés et d’autres ouverts. Une salle avec un matérielBDSM l’attire et le fait rêver, une balançoire, très prometteuse, en l’occurrence. Elle me plaît aussi. Je le dis bien faiblement, j’ai vraiment trop la trouille au ventre. Il me demande de choisir la pièce que je préfère… pour tout à l’heure. Un coin fermé. Installés au bar, on scrute autour de nous : c’est tellement mort qu’on en rigole ! Finalement c’est pas si terrible, je n’ai pas vu un bout de sein, ni un bout de chair, si ce n’est ce qui sort dupush-up de ma voisine, que mon compagnon de soirée lorgne sans vergogne. Je m’attendais à voir des filles en transe, à moitié dénudées se déhanchant sur la piste, tout en se caressant, sous les regards fiévreux de ces messieurs. Je m’attendais surtout à voir du monde, mais visiblement ce soir-là ce n’était pas le bon soir. Quelle drôle de première expérience ! Désabusés, on prend le chemin du retour. J’aurais aimé qu’il accentue ses caresses qu’il me prodiguait tendrement, en m’embrassant langoureusement, pendant que nous étions au bar ; j’aurais aimé qu’il inspecte l’intérieur de mes cuisses, légèrement humides rien qu’à l’idée de ce qu’il pouvait se passer ici. J’aurais aimé qu’il m’emmène d’un regard ferme vers les escaliers qui montent vers le plaisir, qu’il mette ses mains sur mes hanches, et me caresse les jambes pendant que je monte langoureusement ces quelques marches. ...