Excédée, elle me saute dessus et s'empale
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
nympho,
fépilée,
train,
fdomine,
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... en substance que la madame Rignotti est une sacrée chaude. Qu’elle a des besoins de l’ordre sexuel qui dépassent la raison. Que quand il faut y calmer le cul, y a pas à discuter, que lui et Simoni, ils la suivent sans mégotter. Elle fonce dehors et ramène un type. — Mais … ? Elle fait souvent ça ?— De temps en temps, ouais. Mais faut pas trop traîner ici, mon gars. À ce qu’il raconte ensuite, c’est même comme qui dirait une technique qu’elle a, la madame. Elle viserait souvent des nazes dans mon genre. Elle tombe dessus un mecton de mon espèce et l’emporte dans son repaire fissa. Sidéré qu’il est, une fois érectionné, ça bouge plus. On se trimbale le bâton de bois, inflexible. Y a pas le danger d’éjaculation intempestive, ça laisse tout loisir à la dame de se limer l’entrecuisse jusqu’à plus soif. À tous les coups ça marche, qu’il paraît. En disant ça, il se tourne pour me regarder, comme s’il attendait une confirmation. J’ose pas renier pour défendre ma virilité. De toute façon la chose semble entendue. — Et … et c’est elle qui vous raconte tout ça ?— Oui mon pote, côté déballage d’affaires intimes, elle est plutôt généreuse. Y a pas, des égrillardises elle en connaît un rayon. Et c’est rien que du vécu. Il appuie le propos par de graves hochements de tête. Puis il ajoute : — Mais traîne pas là. Il m’agace à me dire toujours la même chose. Je traîne pas, je finis ma clope. — Mais… et vous ? Vous… ? Vous la… ? Enfin je veux dire…— Oh non ! Non merci !— Ah ? Mais… elle est ...
... pourtant plutôt jolie non ? Il se tourne un peu et plissant les yeux, il me scrute un moment. — Plutôt jolie ? Je veux oui, avec Simoni on n’a jamais vu plus belle femme de toute notre vie. Y a pas un bonhomme qui l’ait approché et qui soit pas amoureux d’elle. Tiens, Simoni par exemple !— Eh bien alors ? Je… je ne comprends pas.— Hé ! On tient à notre peau mon gars ! J’apprends que s’il y a une madame Rignotti, il y a aussi un monsieur Rignotti. C’est pas bien clair, mais il doit être trafiquant de quelque chose de pas tout à fait déclaré au registre du commerce. Et il aurait plutôt le sang chaud. Il aurait tout simplement refroidi au moins deux amants – présumés – de sa jeune épouse. Le « faut pas traîner » prend une toute autre perspective. Je saute sur mes pieds et sprinte jusqu’à la porte. La rue ! Je prends à droite et cours comme un dératé. À gauche. À droite. Je regarde partout, à tout moment je m’attends à voir surgir Al Capone avec une sulfateuse pointée sur moi. Bientôt hors de souffle, je m’arrête. Je suis noyé parmi les passants. Je réfléchis qu’ils n’ont de toute façon pas mon nom, mon adresse, rien. Il n’a aucun moyen de me retrouver ! Je me calme un tantinet. Rentrer-maison. Machinalement j’attrape la rampe d’un escalier qui s’enfonce vers le métro. Je descends une marche, m’arrête, immobilisé par un spectre. Et si je la recroisais dans le métro ? Aucune chance… Malgré tout, j’irai à pied chez moi, c’est un peu loin mais c’est beaucoup plus sûr. Et puis une ...