1. Clémence Thermet aime la pisse


    Datte: 08/01/2019, Catégories: Première fois Anal Hardcore,

    Je m'appelle Clémence Thermet et j'adore l'uro et tous les jeux autour de la pisse, qu'on l'appelle or liquide ou champagne. J'ai découvert l'uro quand j'avais 20 ans, toujours avec Carlos Luis, mon pygmalion en matière de sexe. Il m'a tout fait découvrir, et moi qui étais une petite bourgeoise coincée de par mon éducation et mon milieu social, j'ai appris bien vite entre ses bras à me transformer en une jeune salope avide de plaisirs, avant de me révéler en tant que pute.Mes parents m'ont toujours tout donné, même si leur présence n'était pas leur fort, occupés qu'ils étaients à leur métier, ingénieur pour mon père, céramiste pour ma mère (enfin elle se dit artiste). On peut dire qu'ils se sont occupé de moi, même si je me suis souvent sentie seule et un peu délaissée. Mon père en particulier préférait toujours mes soeurs à moi, et j'en nourissait une vraie souffrance et un peu de rancoeur. J'étais à ses yeux soit trop grande, soit trop musclée ("comme un mec" me disait-il souvent), soit trop maigre. Je m'était jetée à corps perdu dans les compétitions de gymnastique dans mon club à Houdan, proche du village où je suis née. J'ai fait souffrir mon corps pour qu'il fasse des merveilles qui émerveilleraient mon père ou éveilleraient la curiosité de ma mère.Malheureusement, rien de tout cela n'arriva. J'avais démarré trop tard, beaucoup trop alors qu'il faut démarrer petite fille et dans ma quête pour briller, j'en avais oublié à quel point les compétitions de gymnastiques ...
    ... sont terribles pour le corps et l'esprit. Pire, je faisais beaucoup de barres, et j'ai commencé à développer les muscles du haut de mon corps. Mon père, qui d'ordinaire n'était pas très flatteur, trouvait là un terrain de jeu rêvé, et m'appelait son "grand mec bien costaud" au fur et à mesure qua ma carrure se développait et que ma poitrine diminuait.Mon coeur saignait et j'en nourissait un véritable complexe, fait de rage, de colère contre moi-même, de frustration, de douleur et souffrance. Je me demandais même si je ne serais pas mieux en lesbienne, au moins on m'aurait donné un role à ma mesure. Il y a toujours des filles qui arrivent à trouver du charme à une fille masculine alors pourquoi pas? J'en étais là et je me sentais délaissée. Et puis un jour, je suis tombée sur Carlos.Un mec sympa, plus agé que moi (j'en avais seulement 20!) qui avait l'air d ebien mener sa barque. Il était libertin depuis plusieurs années et avait beaucoup d'expérience en matière de sexe. Je ne sais pas ce qui l'a attiré chez moi, mais il a su deviner dans les tréfonds de mon ame de quoi j'étais faite, quelles souffrances allaient sculpter ma sexualité avec lui, comme un artiste (un vrai, pas comme ma mère!) ciselant son modèle à ses volontés.Ce fut lors d'une soirée entre amis qu'il me mit le grappin dessus, mais avec lui tout semblait facile et naturel. Je n'ai pas compris comment je me suis retrouvée à l'étage chez ses amis dans une chambre à le sucer, moi qui étais d'orinaire très timide et ...
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