Maxime chéri...
Datte: 09/01/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
jeunes,
copains,
profélève,
revede,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
hdanus,
inithf,
... plus longtemps, je me love dans ses bras et lui souffle à l’oreille : — Maxime, tu ne m’as pas bien écoutée, j’ai bien dit qu’il fallait rentrer immédiatement, mais je n’ai jamais précisé où ; personnellement, je préfèrerais aller dans ta chambre, sauf si cela t’ennuie que je me mette toute nue pour faire sécher ma robe. Il est tout sourire, mais encore sous le choc : — Chloé, ne me fais plus de blagues comme ça, mon cœur est fragile, il pourrait lâcher. Maxime cohabite avec trois autres étudiants, leur salon est un peu en vrac, mais sa chambre est propre et bien rangée. Pendant qu’il verrouille la porte, je m’allonge sur son lit. Il me rejoint, commence à me déshabiller, embrasse chaque bout de peau qu’il découvre, ce qui lui prend un certain temps. Il est très excité, cela se voit, mais il ne précipite pas les choses, quand il enlève mon soutien-gorge, il fait des baisers de plus en plus ciblés sur ma poitrine, je commence à gémir, mais suis encore suffisamment consciente pour lui dire : — Si tu veux conserver de bonnes relations avec tes colocataires, je te conseille d’aller leur distribuer des bouchons auriculaires, car je ne sais pas faire dans la retenue, crois-moi. Maxime se moque, c’est vrai que ce serait idiot d’aller distribuer des bouchons, ce serait une manière naïve de leur dire qu’il va y avoir quelque chose à écouter. Mais en attendant, je l’ai prévenu… Quand il enlève ma culotte, je suis déjà trempée, je n’ai pas besoin d’être stimulée, aussi je m’intéresse ...
... à son corps, le déshabille beaucoup plus vite qu’il ne l’a fait pour moi, je crois qu’il m’en est reconnaissant. Il est vraiment à l’étroit dans son boxer, je délivre son sexe et me précipite pour l’embrasser. Je l’avais déjà vu l’année précédente, j’avais été impressionnée, mais ce soir, il est turgescent ; je n’ai pourtant aucun doute sur le plaisir que j’aurai à l’accueillir dans mon intimité. J’avale les quelques gouttes qui ornent son gland, elles ne lui seront pas utiles, ma cyprine si abondante suffira largement pour assurer ma lubrification. Je veux qu’il me pénètre tout de suite, j’en ai trop envie, il le comprend. Je m’allonge sur le dos, lui dis que je ne prends pas la pilule, il met prestement un préservatif et vient sur moi, j’écarte mes jambes, les replie et viens les accrocher dans son dos pour en faire mon prisonnier. Il me prend doucement et sans difficulté. J’ai envie de profiter longtemps de cette pénétration, je le lui murmure à l’oreille. Je craignais qu’un gaillard comme lui soit brutal, empressé, il n’en est rien, il prend son temps. Je ne sens presque pas le poids de son corps sur le mien, son contact est ferme mais léger ; les séances de gainage à la fac ont été fructueuses. Il n’a pas changé de rythme, son va-et-vient est lent, mais il me pénètre profondément, chaque poussée me fait gémir, j’essaye de retarder mon orgasme, mais lui, tiendra-t-il ? Pour l’instant, il est bien concentré : je contracte mes muscles vaginaux, il apprécie le massage, émet ...