Sous la serre
Datte: 09/01/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
jardin,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Je m’appelle Julien, j’ai quarante-deux ans, une femme splendide et des enfants plutôt sympas. L’histoire que je vais vous conter, je n’en suis pas très fier, mais en parler par écrit va peut-être me soulager d’un poids. Ma femme a une sœur, Ludivine. Contrairement à ma compagne qui est plutôt naturelle, sans chichis, Ludivine a tout du stéréotype de la petite bourgeoise : tout le temps apprêtée, tirée à quatre épingles, très maniérée, des goûts de luxe, méprisante, hautaine, mondaine… Comme toute femme de la haute qui se respecte, elle n’a jamais travaillé, laissant ce privilège à son richissime financier de mari, Henri. Ils ont deux enfants tout comme nous, et souvent le week-end, même si c’est à contrecœur pour ma part, nous nous retrouvons dans leur vaste demeure pour que nos charmants bambins s’éclatent dans le grand parc à longueur de journée. Dès que je peux, j’évite ce rendez-vous hebdomadaire, prétextant n’importe quel contretemps. Mais ce samedi, ma femme doit boucler un dossier important, et me voilà arrivant avec mes deux enfants devant la grande baraque, je suis de corvée pour l’après-midi. C’est Henri qui vient m’ouvrir le portail, me gratifiant d’un bonjour magistral de faux-cul comme à son habitude : — Julien ! Entre, entre ! Salut les enfants ! Bon, il faut que je file, encore une de ces réunions improvisées. On se voit ce soir, vous restez diner bien sûr ! À peine le temps de lui répondre, que le bonhomme est déjà dans sa voiture, prêt à filer. Bon, il va ...
... falloir que je me fade la belle-sœur tout seul, et c’est loin de m’enchanter, vu que cette pète-sec me les brise menu. Je ne peux pas l’encaisser, elle me colle le bourdon. Pourtant, elle a un physique plutôt avantageux, je dirai même qu’elle serait vachement bandante si elle n’était si tordue : elle est assez grande, assez menue, mais possède un cul bombé à damner un saint, un de ces arrière-train qui colle la gaule en moins de deux, une chute de reins à faire exploser les boutons de braguette. Mais son côté prude et casse-burne provoque généralement plus le rejet que l’envie, et laisse imaginer des séances de baise sans originalité, sans saveur. Elle nous attend sur le perron. Ses enfants sont au fond du parc, en train de jouer dans leur cabane. Après lui avoir collé la bise, mes deux petits monstres cavalent comme des dératés pour rejoindre leurs cousins. Ludivine porte un chemisier cintré et assez décolleté, une jupe droite, et des talons aiguille. Un imposant collier de perles orne son cou et descend jusqu’entre ses deux petits seins. Je lui embrasse les joues pour la saluer, elle sent bon, comme toujours. Dieu qu’elle est conne, mais que son odeur est délicieuse. Je l’accompagne au salon, où elle me propose un thé. Je boirais bien un verre de rosé, mais je n’ose pas lui demander, elle en profiterait pour me reprocher mon penchant pour l’alcool. Alors je sirote son eau chaude parfumée sans la ramener. On discute de tout et surtout de rien. Oui, en plus d’être pète-sec, ...