1. Rencontre agée (2)


    Datte: 09/01/2019, Catégories: Divers,

    ... satisfaire ma femme. Elle doit vous attendre à l’étage, dans la chambre d’ami. Allez la retrouver. Une fois que vous aurez fini, veuillez juste redescendre me dire comment cela a été. Cela comblera pleinement mes désirs. — Bien, d’accord. » Je bus d’un coup mon verre et me levai pour monter à l’étage. Je gravis l’escalier lentement, me demandant ce que j’allais trouver, vivre comme expérience peu ordinaire. Faire l’amour à une dame d’un certain âge n’a jamais été un grand fantasme pour moi, mais le fait d’avoir vécu ce que j’avais vécu la veille, m’avait gardé en excitation toute la nuit. En haut de l’escalier, je vis une seule porte ouverte, les autres étaient closes. Je m’approchais pour découvrir une petite chambre plongée dans l’obscurité et l’ombre d’une personne à l’intérieur. J’entrai. Mes yeux s’habituèrent rapidement à la pénombre. Comme unique source de lumière, celle venant du palier. La femme, Maryse donc, était assise sur le lit. Je la regardai puis je m’approchai d’elle, je la pris par la main et la mis debout devant moi. Elle s’était rapidement changée. Elle avait enfilé un peignoir de soie rouge. Ses cheveux blancs tombant sur ses épaules. Elle avait retiré ses lunettes et me regardait avec douceur. Je défis la ceinture nouée du peignoir et l’ouvris, dévoilant son corps. Un soutien-gorge rouge à dentelles maintenait sa poitrine bien droite, et montrait la générosité de ses seins. Mes yeux descendaient sur son ventre, qu’elle dévoilait sans fausse pudeur. Un ...
    ... ventre un peu plissé mais dont la blancheur de la peau dans cette pénombre donnait envie de caresser. Dessous, son pubis était caché par une culotte rouge, assorti au soutien-gorge. Je la fis tourner tout en lui faisant retirer son peignoir. Elle se laissa faire. Je pus donc, à loisir, découvrir son corps, ses fesses plates et larges, ses cuisses tremblotantes. Cette femme, se laissant faire, commençait à m’exciter. Je la lâchai pour défaire son soutien-gorge que je laissai tomber au sol. Ses seins, libérés, descendirent un peu. Elle avait une belle poitrine, à peine veinée et plissée dans l’obscurité. Et je ne pus bloquer l’envie de les prendre en main. Je m’approchai d’elle, dépassant de plus d’une tête la dame. Elle ferma les yeux, et se laissa caresser le corps. Une de mes mains prit délicatement son sein pour le maintenir tel un bonnet de soutien-gorge. Du bout du pouce, je caressais la peau blanche de cette poitrine, ressentant son poids, sa mollesse, et la dureté grandissante de son téton. Je baissai la tête pour embrasser son cou, sentant son odeur de plus près. Je la fis assoir sur le lit, puis l’allongeai sur le dos. Ses seins s’aplatirent, tirés par leur lourdeur sur les côtés. Je m’assis auprès d’elle, tout heureux d’avoir à disposition une femme telle que Maryse, se laissant faire... Ma main gauche caressait sa poitrine, passant lentement d’un sein à l’autre, effleurant ses tétons que j’entrapercevais, passant sur ses côtes, le haut du ventre, remontant sur son ...