1. La Foire


    Datte: 12/08/2017, Catégories: grp, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fsodo, Partouze / Groupe

    ... qui obéissait à la règle fondamentale du « voir-vu ». Quelques couples commençaient à se bécoter çà et là, mais la soirée n’était pas encore vraiment lancée. Au bout de cette pièce, au prix d’un cheminement subtilement tracé entre les canapés, nous atteignons une nouvelle pièce qui se révèle être le bar. C’est pour beaucoup un lieu fondamental dans la mesure où une dose d’alcool non négligeable reste nécessaire pour beaucoup afin de rester « zen » en toutes circonstances (notamment quand on voit sa femme en charmante compagnie). Trois autres pièces étaient accessibles au rez-de-chaussée, trois petits salons semblables (en plus petit) à celui que nous venions de traverser et une pièce, pourtant indiscutablement de grande taille, semblait inaccessible aux convives. Étrange. À l’étage, une douzaine de chambres étaient destinées aux envies plus personnalisées ou aux fantasmes peu propices à l’exhibition. Caroline et moi, nous avons commencé à boire chacun un bon whisky-coca en observant ce qui se passait. Nous cherchions nos amis, mais cela devenait de plus en plus difficile, car les couples arrivaient en masse. J’aperçus un moment Mme M***, mais elle était déjà en train de s’occuper d’un monsieur qui, visiblement, n’était pas son mari. Trop tard pour les formalités d’usage. Je regardais Caroline et, sans même se parler, on convînt tacitement que c’était le moment de se séparer et de partir à l’aventure. Je fis à Caroline un petit bisou dans le cou, et elle s’éloigna en se ...
    ... faufilant entre les groupes plus ou moins bien formés. Je décidai de mon côté de retourner prendre un petit « drink » au bar. Après avoir un ou deux petits whiskies bien tassés, je commençais à me sentir dans un état serein, préalable en général à l’ivresse. J’avais décidé, avant de consommer un peu plus, de me balader de salon en salon et d’observer les coutumes locales. Dans le premier salon, juste à côté du bar, l’ambiance était très dominant-dominé. Une jeune femme, vingt-cinq ans peut-être, était fessée par un homme athlétique pendant qu’elle suçait un autre homme. Je remarquais un homme un peu l’écart qui observait la scène et qui, visiblement, avait beaucoup de mal à retenir son envie de se caresser. Les pièces étaient suffisamment vastes pour que de petits groupes puissent « s’éclater » de façon quasi indépendante. Dans l’entrée, j’aperçus une très belle métisse qui léchait les couilles de Mr M***. Tout se passait donc bien pour lui. Entrant dans un petit salon près de l’entrée, j’aperçus ma femme qui s’occupait d’un superbe mec de type latino. Elle le suçait avec ce mélange de douceur et de détermination qui, au lit, faisait tout son charme. Caroline avait toujours eu un faible pour les sud-américains machos, elle n’avait pas raté l’occasion de combler l’un de ses plus vieux fantasmes. Je m’éclipsai rapidement. Bien qu’habitué aux partouzes, il n’est pas forcément agréable de voir sa femme se faire baiser, surtout par un hidalgo beau, jeune et sûrement bien plus performant ...
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