1. Souvenir de Saint-Brévin (1)


    Datte: 10/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... promener dans Nantes car cela faisait bien longtemps que nous n’étions pas venus ici. En fait nous y avions vécu une dizaine d’années, nous avons donc profité de l’occasion pour voir si cela n’avait pas trop changé dans le quartier où nous étions domiciliés. J’étais gêné car Muriel m’excitait énormément, en plus de son parfum il y avait son odeur de rousse qui ne me laissait pas indifférent. Nous avons passé la soirée dans la ville, nous nous sommes fait un resto avant de rentrer sur le camping. Une fois couché avec ma chérie, cette dernière s’est interrogée. — J’ai l’impression que Muriel te plaît quand je te vois la manger des yeux. — Je me demande si elle n’aime pas les femmes, car je trouve qu’elle me regarde aussi de près. — Je m’imagine parfaitement du faisant l’amour. Après de telles pensées, après de telles questions, j’étais un peu sur le cul; j’avais l’impression de découvrir ma femme. Je lui ai avoué qu’elle ne me laissait pas indifférent mais que c’était elle que j’aimais de tout mon cœur. Ce sujet de conversation nous a bien chauffés, nous a bien excités; du coup c’est Marie qui m’a sauté dessus. Vous ne le saviez pas mais tous les soirs, pour dormir j’enfilais un body en lycra qui épousait parfaitement les formes de mon corps; ma femme aimait bien l’idée car cela mettait mon corps en valeur, mais surtout cela me rendait opérationnelle quand elle le désirait. En fait 24 heures sur 24 je portais toujours un tanga sur moi que j’arrivais à facilement dissimuler ...
    ... partout et c’était quelquefois à travers le maillot de bain mais j’arrivais à gérer. Je ne laissais cette pièce de tissu au profit de mon body pour dormir, je pense que l’on pouvait dire que j’étais fétichiste du lycra. C’est aussi à cause de cette matière et toutes les autres matières douces qu’il m’était arrivé des malheurs lors de mon spectacle au camping. C’est aussi à cause de mon fétichisme pour le lycra que ma femme me savait fidèle car elle savait que je n’irais pas voir ailleurs juste pour cela. Marie était très compréhensible et surtout ouverte d’esprit elle a accepté tout à condition qu’il n’y ait pas de cachotteries. L’aventure qui nous était arrivée quelques années auparavant au camping nous avait un peu plus soudés. Donc ce soir-là je suis descendu à la cave et je me suis occupé de la friandise de la femme, je connaissais son corps parfaitement; je savais où il fallait aller pour accélérer ou ralentir son plaisir croissant. En fait j’adorais me glisser sous les draps pour m’occuper de son entrejambe, car cela conservait toutes les odeurs et j’en étais très friand. Il va de soi que j’avais une petite préférence quand cela sentait la petite fille négligée. Elle n’a pas été bien longue à prendre son pied grâce à l’intervention de ma langue et elle a eu l’honnêteté de me dire que ses suppositions à l’égard de Muriel l’avaient beaucoup excitée aujourd’hui. De mon côté j’avais libéré mon sexe de mon body en le faisant glisser sur le côté et j’étais en train de pénétrer ma ...
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