Confidences après l’orgie 08- LA MÉTAMORPHOSE
Datte: 12/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Confidences après l’orgie 08- LA MÉTAMORPHOSE Après l’orgie de la veille chez Katte, Angel et Franck sont rentrés chez eux épuisés, sans avoir pu s’entretenir de l’expérience vécue. Il est presque dix heures du matin lorsque j'ouvre un œil. Angel s'est déjà levée, c'est très récent car je sens la bonne odeur du café qui vient de couler dans la cafetière. Je l'appelle pour lui faire comprendre que je suis réveillé. Elle arrive aussitôt, enveloppée d'un déshabillé vaporeux qu'elle met rarement, surtout depuis que nous ne faisons plus l'amour. Elle s'agenouille sur le lit et me demande. - Vous avez bien dormi Monsieur ? Après cette nuit de dévergondage, j'espère que vous allez pouvoir vous occuper de votre épouse préférée ? J'écarte les pans du déshabillé et je contemple avec ravissement le corps voluptueux de mon épouse. Je détaille sa poitrine généreuse, admirant les globes saillants qui s'allongent vers moi dans une invite muette, alors que sa posture, les genoux écartés sur le lit me laisse entr'apercevoir son entrecuisse. J'examine la forêt de poils frisés et bruns d'où émerge sa vulve entrouverte qui palpite d'excitation. Trois de mes doigts de ma main droite s'enfoncent immédiatement dans la fente qui bave déjà d'une abondante sécrétion, alors que ma main gauche va à la recherche d'un mamelon qu'elle malaxe immédiatement et que ma bouche attrape l'autre bourgeon en le mordillant délicatement. Mon épouse adorée s'abandonne entièrement à mes attouchements libidineux. En ...
... voyant mon sexe qui s'est dressé au-dessus de mon ventre, elle m'enjambe, puis prenant ma verge dans une main, elle écarte de l'autre ses grandes lèvres et s'introduit elle-même le membre qui glisse dans la moiteur de son vagin dilaté. J'éprouve une impression exaltante, en savourant la vision que m’offre la vulve qui s'empale sur mon pénis redevenu enfin érectile, et en me délectant de la posture provocante qu'Angel m'offre aussi insolemment. Je ne peux détacher mes yeux de la vulve écartelée par ma verge qui repousse le renflement congestionné du clitoris dont le gros bourgeon rouge vif laisse deviner l’excitation extrême. Le gros bourrelet des grosses lèvres est bordé des poils bruns frisés qui forment une couronne de fourrure à la chair diaphane, accentuant encore l’impudicité et l’obscénité indécente de mon sexe qui s’aventure dans l’ouverture orangée de l’orifice vaginal. J'enserre sa taille avec mes bras et je l'attire contre moi en l'embrassant langoureusement, tout en soulevant mon ventre en avant pour que ma pine puisse s'enfoncer au plus profond de sa matrice. Nous nous agitons presque simultanément, prenant un plaisir inouï à cette copulation délicieuse. Enfin, lorsque j'éjacule, me projetant en fin de course dans sa grotte brûlante, elle s'écroule sur moi, me couvrant de baisers en me lançant des « Je t'aime ! - Je t'aime ! ». Recouverts du drap de lit, nous restons enlacés plusieurs minutes avant que nous puissions passer en revue les différentes étapes de notre ...