1. Christine VI : Midlife Crisis (17)


    Datte: 10/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... exemple ? — Bah, en moyenne, deux par semaine environ. — Oui… quand même… Elle rit. Un baiser et nous nous retrouvons dans le couloir, non sans qu’elle soit repassée par sa chambre. Heureusement, car Sabrina nous attend. Nous arrivons juste à l’heure pour le meeting et saluons rapidement nos collègues. Je suis assez impressionné par cette réunion de cadres et je suis dans mes petits souliers. J’ouvre grandes mes oreilles, mais je suis plus captivé par la prestance et les qualités d’expression des divers orateurs que sur le fond. Cela s’équilibre après une petite heure. A côté de moi, Fabienne semble un peu s’ennuyer. Elle me fait un clin d’œil. Reste que je ne vois pas passer les trois heures que dure cette première partie. A 12h30, nous nous rendons dans une autre pièce de l’hôtel où un apéritif est disposé. L’occasion de discuter avec d’autres cadres que je ne fréquente pas nécessairement au quotidien. L’occasion aussi d’être présenté au représentant hollandais de notre holding. Après la poignée de main et quelques mots échangés en anglais, je vois Fabienne arriver vers moi. Elle sourit : — Alors, on fréquente la haute société maintenant ? ...
    ... Je ris. — Ben oui, tu vois, ça sert aussi à ça. Merci beaucoup de m’avoir permis de venir. — Mais de rien. Je suis certaine que ça va te servir. Nous finissons nos verres puis elle dit : — Viens, il faut que je te montre quelque chose. Nous sortons de la pièce par une haute porte-fenêtre et traversons une large terrasse en pierre. Au bout, la vue est magnifique : une vaste jardin ombragé puis un lac et dans le fond, les montagnes. — Ah, c’est superbe, vraiment ! Regardant alentours, Fabienne dit : — On ne mange qu’à 13h. On va faire un petit tour dans le jardin ? En me tournant vers elle, je n’ai aucun doute ses intentions. Nous descendons un escalier et nous retrouvons dans un parc luxuriant aux arbres anciens. Je m’y sens immédiatement très à l’aise. Fabienne semble également impressionnée par la majestuosité du lieu. Nous n’allons pas loin. Sortant du chemin principal, nous nous glissons derrière un buisson touffu et Fabienne me suce plus calmement que le matin. Je la prends ensuite debout, par derrière, d’abord en vaginal puis en anal. Nous revenons à l’apéritif comme si de rien n’était et passons au déjeuner quelques instants plus tard. 
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