1. C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. (4)


    Datte: 11/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... aussi? — Si tu veux, mais juste une minute et tu ne jouis pas. Si tu veux décharger tu as sa bouche. — Ok, c’est mieux que rien. Je me retire et il s’engage aussitôt. Il lui fout une ramonée sévère et je le stoppe au bout du temps accordé. Je reprends ma petite salope et l’encule vaillamment moi aussi, cette courte pause m’ayant revigoré. Un nouveau mec aimerait goûté au plaisir de sodomiser ce cul des plus accueillants et j’accepte dans les mêmes conditions. Il la prend, se retire, je l’encule à nouveau, et un troisième tente sa chance. Ils sont maintenant dix, douze, peut-être plus à avoir alterné avec moi un matraquage anal de notre salope. Je ne suis même pas sûr qu’elle s’en soit vraiment rendue compte tant elle est absorbée par toutes ses fellations qu’elle s’applique à réaliser de son mieux pour donner du bonheur à tous ces inconnus et obtenir à chaque fois sa récompense juteuse. Ils sont tous passés dans sa bouche , la majorité dans son cul, et ils sont fin prêts pour une deuxième séance. Ma copine est épuisée, elle n’a plus la force de sucer, mais non plus celle de se défendre, de refuser ces nouveaux assauts. Ils vont tous l’enculer grave, la matraquer profond et claquer leurs couilles sur sa vulve à chaque pénétration. Ils vont ensuite se retirer pour laisser la place au suivant, et venir dans sa bouche qu’un autre vient de libérer après l’avoir bien gavée de foutre. Elle se fait baiser en double, bouche et cul, abattue, sans défense, et je ne fais rien pour venir ...
    ... à son aide; je suis sûr qu’elle aime ça cette chienne. Ils sont tous hors service, à part deux jeunes qui tentent avec succès un troisième accouplement. Ils lui défoncent le cul et déchargent dans sa bouche en gorge profonde. On se retrouve seul et elle reprend souffle: vjvqqkp — Oh! Ce qu’ils m’ont mis ces salauds! Je croyais que ça n’en finirait pas, je suis morte. Elle veut se redresser pour se reposer sur un siège, mais je lui administre une bonne claque cinglante sur les fesses: — Ne bouge pas traînée, je veux ma part moi aussi. — Non, s’il te plait, je n’en peux plus. Et puis tu dois être en forme pour cette nuit! — Oui, c’est ce que voudrait la raison, mais si tu voyais ma trique, elle pense autrement. Ecarte tes fesses salope que je te prenne la température. — Non, je t’en prie, ce soir tant que tu veux, mais p... Elle n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle prend une deuxième gifle bien appuyée . Elle semble avoir compris et s’exécute sans un mot. Je frotte mon gland sur sa rosette encore ouverte et m’enfonce comme dans du beurre. Je la lime doucement puis accélère pour la tringler bestialement. Elle gémit, feule, son plaisir ayant repris le dessus sur sa fatigue: — Jouis salope, jouis putain de chienne, dis moi que tu l’aimes ma bite dans ton cul, dis moi que tu m’appartiens. — Oui, oui, c’est bon comme tu m’encules, elle est bonne ta grosse queue. Défonce moi, je suis à toi, je suis ta chienne soumise. Je la bourre, la laboure, la fait gueuler de plaisir. Deux ...