1. La soirée qu'il ne fallait pas rater


    Datte: 12/08/2017, Catégories: fh, rousseurs,

    ... par la fenêtre : c’est bien mon invitée. Elle a rangé sa petiteKa sombre juste sous le gros chêne ; personne ne la verra de dehors. Elle s’est changée : terminé, le bel uniforme de gala ; il est remplacé par une jupe en jean et une chemise style bûcheron canadien. C’est drôle, mais cela n’enlève rien à sa féminité. Je vais jusqu’à la porte d’entrée pour l’accueillir. — Tu as fait vite.— Vas-tu t’en plaindre ?— En ai-je l’air ?— Je peux entrer ? Décidément, elle a le don de me perturber. Tout à la contemplation de mon invitée, j’en oublie de la faire entrer. — Bien sûr. Excuse-moi. Elle entre. —Le Chat, dis-je pour le présenter, alors qu’il venait voir qui troublait ainsi son repos.— Original, comme nom.— Viens, nous n’allons pas rester dans le couloir. Une fois arrivés dans le salon, je lui désigne de la main une place sur un des fauteuils. Elle s’y laisse tomber légèrement avec un soupir d’aise. Une fois posée, elle étire ses bras au-dessus de la tête, ce qui a pour effet de faire saillir sa somptueuse poitrine. Quand je dis « somptueuse », c’est en souvenir de ce que j’ai vu et caressé tout à l’heure. N’allez pas fantasmer sur une paire de mamelles à la limite du monstrueux : ses seins sont justes à ma mesure. C’est-à-dire qu’ils tiennent à peine dans mes mains (déjà de bonne taille), mais qu’ils sont fermes, drus et ornés de deux aréoles qui se contractent lorsque le téton durcit et augmente de volume. — Tu as fini de te rincer l’œil ?— Qui est-ce qui me provoque ?— ...
    ... Moi, je te provoque ?— Si peu… Je me suis approché d’elle, et pour être à sa hauteur, je me mets à genoux devant son fauteuil. — Relevez-vous, mon ami ; je n’en demande pas tant ! dit-elle en riant. Je me penche légèrement en avant, mon ventre posé contre ses genoux et, pour ne pas perdre l’équilibre (menteur !), je pose mes mains sur ses hanches. À ce contact, elle vibre comme la corde trop tendue d’un violon. À travers la chemise de laine, je caresse ses flancs, remontant lentement en direction de sa poitrine. Simultanément, je sens ses genoux qui s’écartent, pas plus que ne le permet l’étroite jupe de jean. Ses mains se rejoignent derrière ma nuque, m’attirent contre elle, m’invitent à poser ma tête entre ses seins, là où – comme par hasard – la chemise est ouverte. Pour me faciliter l’approche, elle se laisse glisser sur le fauteuil, rapprochant son bassin du bord du coussin, ce qui lui permet d’entrouvrir plus grand le compas de ses jambes. Bien qu’assez agréable, la position n’est pas très confortable. Je ne tarde pas à la tirer vers moi et à l’amener sur l’épais tapis de laine étendu sur le sol. Là, tout change. Plus besoin d’acrobatie pour être l’un contre l’autre ; nos quatre mains sont libres et peuvent recommencer le savant ballet qui prépare notre fusion. Il dure longtemps, ce ballet. Nous avons tant à découvrir l’un de l’autre… L’un comme l’autre, nous avons tenté l’inventaire exhaustif de l’autre, soumettant chaque parcelle de nos corps à la contemplation, ...
«12...8910...17»